Réalisation : Emmanuel Amara
Durée : 52mn
Année : 2011
Un documentaire choc sur un sujet ignoré de la Guerre Froide dans l’Europe de l’Ouest. Plusieurs services secrets d’états européens (Italie, Allemagne, Belgique et France principalement), sous la pression des USA, ont commandité des attentats terroristes contre leur propre population pour contraindre les gouvernements démocratiques à renforcer leurs systèmes sécuritaires et/ou empêcher la montée des partis de gauche ou d’extrême gauche au pouvoir.
« « Théorie du complot » est devenu l’équivalent intellectuel d’un mot de cinq lettres. C’est quelque chose que les gens disent quand ils ne veulent pas que vous réfléchissiez à ce qui se passe vraiment. » Noam Chomsky
Alors que l’Europe est progressivement scindée en deux blocs à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Américains et les Britanniques mettent en place des armées secrètes, des réseaux appelés «Stay Behind», destinés à réagir en cas d’invasion soviétique. Mais alors même qu’une attaque russe devient improbable, ces réseaux ne seront jamais démantelés. Ils sont même à l’origine d’actes de terrorisme et responsables de la mort d’innocents civils. A chaque fois que la gauche menaçait d’accéder au pouvoir, ils ont usé de la force et sont intervenus dans les processus démocratiques nationaux. Parfois, ils ont été protégés par les forces de police et les services de sécurité pour préserver leur capacité de combat.
« Craignant une prise de pouvoir par les partis communistes d’Europe Occidentale, l’OTAN a mis en place le réseau « Gladio » pendant la guerre froide. Gladio, dont la branche suisse était la P26, regroupait des militaires de confiance capables d’engager une résistance armée intérieure contre les régimes communistes. Dans la plupart des pays européens, ces armées secrètes ont joué un rôle trouble. Grâce aux recherches d’un historien suisse (ndlr : le professeur d’histoire contemporaine Daniele Ganser, de l’Université de Bâle) qui a travaillé sur des documents ultra-confidentiels, mais aussi le témoignage d’anciens soldats de Gladio, retour sur une page trouble et sombre de l’Europe d’après-guerre.
Par
pour http://www.notre-ecole.net
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Durée : 52mn
Année : 2011
Un documentaire choc sur un sujet ignoré de la Guerre Froide dans l’Europe de l’Ouest. Plusieurs services secrets d’états européens (Italie, Allemagne, Belgique et France principalement), sous la pression des USA, ont commandité des attentats terroristes contre leur propre population pour contraindre les gouvernements démocratiques à renforcer leurs systèmes sécuritaires et/ou empêcher la montée des partis de gauche ou d’extrême gauche au pouvoir.
« « Théorie du complot » est devenu l’équivalent intellectuel d’un mot de cinq lettres. C’est quelque chose que les gens disent quand ils ne veulent pas que vous réfléchissiez à ce qui se passe vraiment. » Noam Chomsky
Alors que l’Europe est progressivement scindée en deux blocs à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Américains et les Britanniques mettent en place des armées secrètes, des réseaux appelés «Stay Behind», destinés à réagir en cas d’invasion soviétique. Mais alors même qu’une attaque russe devient improbable, ces réseaux ne seront jamais démantelés. Ils sont même à l’origine d’actes de terrorisme et responsables de la mort d’innocents civils. A chaque fois que la gauche menaçait d’accéder au pouvoir, ils ont usé de la force et sont intervenus dans les processus démocratiques nationaux. Parfois, ils ont été protégés par les forces de police et les services de sécurité pour préserver leur capacité de combat.
« Craignant une prise de pouvoir par les partis communistes d’Europe Occidentale, l’OTAN a mis en place le réseau « Gladio » pendant la guerre froide. Gladio, dont la branche suisse était la P26, regroupait des militaires de confiance capables d’engager une résistance armée intérieure contre les régimes communistes. Dans la plupart des pays européens, ces armées secrètes ont joué un rôle trouble. Grâce aux recherches d’un historien suisse (ndlr : le professeur d’histoire contemporaine Daniele Ganser, de l’Université de Bâle) qui a travaillé sur des documents ultra-confidentiels, mais aussi le témoignage d’anciens soldats de Gladio, retour sur une page trouble et sombre de l’Europe d’après-guerre.
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