5 avril 2009

Reportage : Big Brother City (THEMA)



Une visite guidée et critique de Londres, capitale mondiale de la surveillance tous azimuts.

Avec plus de 4 millions de caméras en activité, soit une pour quatorze habitants, la Grande-Bretagne est aujourd'hui le pays dont les citoyens sont le plus surveillés au monde. Duncan Campbell, journaliste indépendant et auteur d'un rapport sur le système d'écoute Echelon (élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande pour intercepter les communications), fait découvrir la dimension orwellienne de la capitale britannique, véritable laboratoire des technologies de contrôle.

Atlas 2009 — Un monde à l’envers

Retrouvez ci-dessous, des extraits de l’Atlas au format PDF :

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Le tournant de l’anthropocène
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Grandes lignes de fracture du continent noir
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Croissance de la population et nouveaux équilibres…
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Cyberterrorisme, la guerre de l’information
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Ces groupes armés qui font peur à l’Occident


Nouvelle édition, entièrement inédite, en kiosques

Vingt ans après la chute du mur de Berlin, sept ans et demi après les attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, une crise financière et économique sans précédent vient à nouveau bousculer la géopolitique internationale.

Chaque jour nous apporte son lot de nouvelles d’un monde en plein bouleversement : déclin de l’empire américain, poussée de la Chine et de l’Inde, retour de la Russie. Vivons-nous la transition de l’« hyperpuissance » au polycentrisme ?

Comment s’y retrouver, comprendre les mutations en cours, dégager de nouvelles grilles de lecture ? A ces questions, le nouvel Atlas du Monde diplomatique apporte des réponses, grâce à son approche à la fois globale et précise d’un monde en mutation.

Ouvrage de référence, il présente sur chacune de ses 87 doubles pages un texte synthétique émanant d’un spécialiste (économiste, politologue, environnementaliste...) accompagné de cartes et graphiques inédits auxquels s’ajoute une sélection de sites Internet.

Au sommaire, cinq grands chapitres :

• Les nouveaux rapports de forces internationaux
• Le monde vu depuis douze grands Etats, du Nord comme du Sud
• Les vrais défis énergétiques de la planète
• Les conflits qui persistent
• Les handicaps et promesses du continent africain

Dirigés par Alain Gresh, Jean Radvanyi, Philippe Rekacewicz, Catherine Samary et Dominique Vidal, soixante-dix collaborateurs ainsi que sept géographes-cartographes ont uni leurs talents pour réaliser cette nouvelle édition entièrement inédite.

• Plus de 300 cartes, schémas et graphiques ;
• Des textes courts et synthétiques hiérarchisant les informations essentielles ;
• Des spécialistes : économistes, sociologues, politologues, démographes, historiens, environnementalistes...
• Une large bibliographie (sites Internet, livres et rapports) pour approfondir vos recherches.

200 pages, 300 cartes et graphiques, 14 euros, disponible en kiosques.

Lire, dans Le Monde diplomatique de mars 2009, « L’œil, la Terre et le cartographe », par Philippe Rekacewicz, et « Par-delà les modes », par Dominique Vidal.

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L’inquiétante « croisade espagnole » des barons de l’eau français

mercredi 25 mars 2009, par Marc Laimé

Le projet de transfert de l’eau du Rhône en Espagne, véritable serpent de mer hydraulique, est définitivement abandonné. C’est ce qu’a affirmé M. Loïc Fauchon, président de la Société des Eaux de Marseille (SEM), filiale commune de Veolia et Suez, le 16 mars 2009 depuis Istanbul, où se tenait le 5ème Forum mondial de l’eau, qui s’est conclu dans un climat de confusion générale — les participants s’étant déchirés autour de la notion de « droit à l’eau ». Derrière cette affaire qui défraie la chronique depuis des décennies, et a récemment été ravivée par la sévère crise hydrique qui affecte l’Espagne, en affleure une autre. Celle de la mainmise brutale des « barons de l’eau » Français sur les ressources en eau de toute la côte française de la Méditerranée. Une affaire qui éclaire d’un jour cru les errements d’une « politique de l’eau » menée par des coalitions d’intérêts qui conduisent toute une région à sa perte. Dans la plus grande opacité, tant les grandes manœuvres qui président à la (véritable) gestion de l’eau, loin des discours officiels, tiennent de l’invraisemblable thriller.

L’Espagne s’interroge depuis longtemps sur la nécessité de mettre en œuvre sur son territoire des transferts d’eau massifs, voire de recourir à l’eau du Rhône pour assurer la satisfaction de ses besoins. Au fil des décennies ont ainsi émergé des projets pharaoniques, dont la constance ne laisse pas d’étonner.

La crise de l’eau espagnole Retour à la table des matières

Un projet de transfert des eaux de l’Ebre vers le Sud de l’Espagne, le « Proyecto del Levante » a commencé à être étudié dans la péninsule ibérique dès… 1933. Avant même la prise de pouvoir du caudillo Franco, figure à laquelle les ingénieurs hydrauliciens et des travaux publics espagnols vouent une reconnaissance émue, car il a obstinément financé leurs projets de barrages et de grands travaux hydrauliques dans les années 40-50. Travaux qui bénéficieront même des subsides du plan Marshall, et feront de l’Espagne de l’après-guerre le plus grand constructeur de barrages au monde…

Il s’agissait alors d’éviter toute réforme agraire et redistribution de terres en déplaçant la paysannerie pauvre sur de « nouvelles » terres marginales, le sud-est aride de l’Espagne.

Un premier projet "français" de transfert des eaux du Rhône pour l’irrigation du Languedoc, fut initié dès les années 1950 par l’avocat Philippe Lamour, qui arracha in extremis en 1955 la signature d’une concession d’eau du Rhône, acte de naissance de la CNA-BRL, au ministre démissionnaire sur le capot de sa DS Citroën, lors d’un de ces inimitables ballets gouvernementaux de la IVème République…

Inachevé en Languedoc même, n’arrivant qu’à Mauguio, à l’entrée de Montpellier, la relance de ce projet vers l’Espagne suscita une épouvantable bagarre au sein de la « communauté française de l’eau ».

Il était à l’époque ardemment défendu, sous forme d’un canal Rhône-Barcelone, par M. Jacques Blanc, qui ferraillait ferme aux côtés de la Compagnie du canal Bas Rhône Languedoc (BRL), une Société d’aménagement régional (compagnie d’état devenue société d’économie mixte dont la majorité du capital est aujourd’hui détenue par des collectivités locales du Languedoc Roussillon), créée en 1955, avec une participation de la Saur-Bouygues jusqu’en 2005.

Il sera peu glorieusement enterré à l’orée des années 90 après un éprouvant bras de fer qui laissera des traces.

Un second projet de transfert de l’eau du Rhône, qui devait arriver jusqu’à Cardedeu, fit son apparition en 1994, lors de sa proposition par un ingénieur d’AgBar (Aguas de Barcelona), filiale de l’entreprise française Ondeo-Suez, au moment où se discutait l’avant-projet du ministre socialiste espagnol Josep Borrell — qui prévoyait, lui, de recourir à l’eau de l’Ebre pour les bassins internes de Catalogne.

A nouveau l’affaire fit long feu, non sans moult dégâts collatéraux….

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Eclairage sur un projet controversé, par Bernard Barraqué

Le printemps 2008 sera agité par les controverses suscitées par un projet de transfert d’eau vers une Barcelone assoiffée par voie de tankers « hydroliers », mis en œuvre par la Société des eaux de Marseille, filiale commune de Veolia et Suez présidée par M. Loïc Fauchon, qui y songeait depuis 10 ans. Une initiative à laquelle le préfet des Bouches-du-Rhône mettra rapidement le holà, l’eau provenant d’aménagements publics (ceux de la Durance et du canal de Marseille).

Sur ces décombres, aujourd’hui, une étonnante coalition de barons de l’eau élabore un projet gargantuesque de mise en coupe réglée de tout le littoral méditerranéen français, aux fins d’y perpétuer un modèle d’urbanisation et d’agriculture rien moins que « soutenables ». A l’horizon, peut-être, à nouveau le mirage espagnol. Entre temps, de Montpellier à Perpignan, l’oligarchie de l’eau aura durablement assis son emprise sur des territoires vendus à l’encan, à revers de toutes les proclamations pour colloques (et banquets). Un littoral-Potemkine, dont la reconfiguration annoncée défie le sens commun.

L’échec du Plan hydrologique national Retour à la table des matières

Après la seconde guerre mondiale, l’état franquiste construit donc des quantités phénoménales de barrages, financés par le plan Marshall, afin de doter le pays des infrastructures hydriques qui lui font défaut… et permettent de « loger » la paysannerie surnuméraire sur de petits lopins irrigués.

Dès l’orée des années 60 le « boom touristique » enflamme la Costa del Sol et la Costa Brava. On y édifie des milliers de kilomètres de résidences de vacances. Le sud du pays commence à développer massivement la culture des légumes (celle des agrumes surtout présente autour de Valencia date des années 1880), qui va connaître elle aussi une croissance fulgurante.

Trente ans plus tard, c’est le désastre : l’Espagne manque d’eau. Au sud, plus de trente mille hectares de cultures sous serre ont totalement asséché les réserves en eau. A quinze ans d’intervalle, des photos satellite de la Nasa virent du vert au rouge. C’est le gouvernement de M. Felipe Gonzalez, suivi par celui de M. Jose Maria Aznar, qui élabore le Plan hydrologique national (PHN), drivé par la puissante corporation des hydrauliciens qui gèrent les Confédérations hydrographiques, précurseurs des agences de bassin. On projette de construire un gigantesque aqueduc afin de transporter l’eau de l’Ebre, au nord, vers les terres assoiffées du sud. Remake ibérique du projet plus ancien des années 1930…

Les réactions sont sans précédent.

L’Espagne va vivre les plus importantes mobilisations populaires qu’ait connue l’Europe autour de la question de l’eau. Les « marches bleues » font descendre dans la rue jusqu’à un million d’opposants en un seul jour.

Il faudra attendre l’élection de M. Jose Luis Zapatero pour voir remiser le PHN. Les tenants d’une nouvelle culture de l’eau ont gagné. Pour combien de temps ?

Depuis, l’Espagne a connu un « boom » immobilier sans équivalent en Europe. Il s’y construisait chaque année, à partir des années 2000, plus de 800 000 logements, autant qu’en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne réunies. Logements qui accueillent des centaines de milliers de retraités du nord de l’Europe, pour lesquels on édifie des milliers de « resorts » à l’américaine, dotés de golfs et de marinas.

En 2007, l’ensemble du conseil municipal de Torremolinos est arrêté au terme d’une opération « Mains propres » qui mobilise d’importantes forces de police espagnoles. Plus de deux milliards d’euros d’argent « noir » issu de la spéculation immobilière et de la corruption sont saisis en l’espace d’une semaine…

La question de l’eau n’est pas réglée. Au sud les cultures sous serre s’étendent toujours.

Quelle alternative au PHN ? L’Espagne s’est déjà dotée de plus de 800 unités de dessalement de l’eau de mer, ce qui en fait le champion européen en la matière.

Un modèle ? La gigantesque unité de dessalement de Carboneras voit 70 % de sa production d’eau potable dévolue à l’irrigation dans la région d’Almeria !

A Barcelone, OTV, filiale de Veolia, a édifié une gigantesque unité de retraitement des eaux usées, qui seront utilisées par les agriculteurs et les industriels.

Une fuite en avant éperdue dans la « high-tech » qui fait figure de nouvelle doxa.

Dessalons, réutilisons vous-dis-je !.

Le leader des « marches bleues », Pedro Arrojo, lauréat du prix Goldmann 2004, professeur d’économie à l’Université de Saragosse, dont la Fondation pour une nouvelle culture de l’eau travaille en réseau avec plusieurs centaines de scientifiques européens à promouvoir une politique européenne de l’eau soutenable, espère que l’accent désormais porté à la prise en compte du réchauffement climatique va infléchir la gestion de l’eau en Europe.

Les prochaines années seront décisives. L’Unesco a estimé que l’Espagne sera très probablement le premier pays européen frappé par le stress hydrique à l’horizon des 20 à 30 prochaines années.

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Planification hydrologique et politique territoriale en Espagne

Le Languedoc, laboratoire de la « nouvelle gestion de l’eau » Retour à la table des matières

Un communiqué publié en février 2007 présentait, sobrement, de nouveaux grands projets à l’étude, cette fois, du côté français :

« La région Languedoc-Roussillon et les cinq départements qui composent son territoire (Aude, Gard, Hérault, Lozère, Pyrénées-Orientales), ont chargé en 2005 la compagnie d’aménagement BRL d’animer une démarche prospective, baptisée “Aqua 2020”, touchant les deux enjeux majeurs liés à l’eau : la satisfaction des besoins futurs en eau potable et la maîtrise des risques liés aux inondations.

Le volet “ressources” de cette démarche a donné lieu à la présentation, le 8 février, d’un « document de référence » exposant la stratégie régionale.

“De nombreux travaux avaient déjà été menés dans un cadre départemental ou infra-départemental, explique Claude Allet, président du directoire de Bas-Rhône-Languedoc (BRL). Il était nécessaire de raisonner à une autre échelle et de décloisonner les regards. L’eau ne connaît pas les frontières.

L’autre originalité de la démarche est de prendre en compte tous les usages de l’eau : eau potable, eau agricole, eau urbaine, eau destinée à l’industrie ou aux activités touristiques”.

Le diagnostic établi par Aqua 2020 chiffre à 60 millions de mètres cubes par an les besoins supplémentaires en eau potable liés à l’augmentation de la population à l’horizon 2020, soit 20 % de la consommation actuelle.

Il pointe la dégradation de nombreuses nappes et rivières, menacées par une augmentation des prélèvements.

La stratégie proposée repose sur trois axes : maîtriser l’évolution des besoins par une diminution de 5 à 10 % de la consommation individuelle, améliorer le rendement des réseaux en investissant entre 545 et 680 millions d’euros sur quinze ans et construire de nouveaux équipements.

Aqua 2020 identifie une trentaine d’opérations qui permettraient de stocker ou de transférer l’eau pour sécuriser les approvisionnements au sein des neuf grands territoires qui composent la région. Leur coût global est estimé à 290 millions d’euros.

Principale suggestion : prolonger le canal Philippe-Lamour, de BRL, qui amène l’eau du Rhône jusqu’à Montpellier par un adducteur qui desservirait la plaine littorale jusqu’à Béziers et Narbonne. A l’appui de cette stratégie, une “Charte de gestion durable des ressources en eau” détaille les engagements des six collectivités partenaires sur chacune des grandes orientations retenues. »

Quand l’INRA flingue les grands projets de Georges Frêche… Retour à la table des matières

Mais les projets de nos barons de l’eau sont malignement épinglés dans un rapport commandé à l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), pour l’expertise scientifique collective « Sécheresse 2006 ».

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L’analyse de l’INRA

Septimanie et mégalomanie Retour à la table des matières

« Aqua 2020 », le grand schéma directeur qui associe la Compagnie du Bas Rhône Languedoc (BRL), la Région Languedoc-Roussillon et ses conseils généraux, commandé par M. Georges Frêche qui veut faire une grande métropole d’Alès à Sète-Agde, est conçu en « chambre noire », et n’est en fait que la réédition « soft » du canal Rhône-Barcelone des années 90, finalement refusé par les Catalans [1] et fait figure de resucée du schéma initial BRL 1955-64 pour « irriguer le Languedoc », et remplacer cette fichue vigne à excédents chroniques, et ces fichus vignerons à révoltes tout autant chroniques...

C’est typiquement de la gestion de l’offre. Du tuyau ! Donc de l’ingénierie, des grands travaux et du service. Une offre complexifiée à souhait par l’interconnection des réseaux AEP-Eau Brute (voire assainissement ?) — ce qui permettra d’urbaniser les garrigues — et entraîne donc la nécessité de la centralisation de la gestion et d’une « régulation dynamique à la SCP » (Société du Canal de Provence »). Avec la rente de situation gestionnaire (chiffre d’affaires et profits) y afférent.

« Aqua 2020 » signe donc une prise de pouvoir technique et politique de la Région sur les communes et structures/syndicats intercommunales, préparée avec toute sorte d’alliés (scientifiques Polytech-UM2-MSE, techniques BRGM-bureaux d’études divers, politiques, économiques - partage des affermages avec les majors Veolia-Ondeo/SDEI-Saur... ).

D’où la grande opacité du dossier, même si une première réunion publique – aux invitations très ciblées – a été organisée à Gruissan au début du mois de février 2007.

Reste que le projet achoppe encore sur des batailles internes de leadership, à savoir l’obstination de certains départements, dont l’Hérault, qui se démarque de Georges Frêche, ou de quelques intercommunalités à pomper les sources karstiques (Cent Fonts sur l’Hérault, Causses héraultais, Issanka à Sète, sources du Minervois,...) pour s’affranchir de cette dépendance anticipée.

Serait-ce une réminiscence occitane de la mémoire des luttes/frictions des années 60-70 quand BRL — alors société d’Etat — voulait supplanter tous les pouvoirs locaux et gestionnaires de proximité (exemple ASA de Gignac...), dont les périmètres étaient inclus d’autorité dans le schéma d’aménagement des ingénieurs hydrauliciens et des politiciens promoteurs du projet (Philippe Lamour) à l’époque ?

L’Empereur septimanien, Georges Frêche, veut donc son « Pont du Gard » à lui... avec ou sans Barcelone ! Il pourrait même anticiper un renversement de tendance des Espagnols car quand le tuyau arrivera aux Pyrénées, une prolongation ne sera que plus facile à défendre si le dessalement d’eau de mer s’avère coûteux/peu efficace/polluant, si la réduction de la demande de cette mégapole n’est pas confirmée (les projections démographiques montraient un ralentissement en 1995-2000, base du calcul économique de rentabilité défavorable au canal-aqueduc Rhône-Barcelone, refusé par BRL, ce qui provoqua la démission du Conseil Scientifique du projet dont 3 directeurs de recherche du CNRS).

Quand Aqua 2020 devient Aqua Domitia Retour à la table des matières

Dans son délire impérial, M. Georges Frêche rebaptise ensuite « Aqua Domitia » son fameux plan « Aqua 2020 », du nom de la célèbre voie romaine de la Narbonnaise en feue Septimanie.

Ce projet titanesque tentera de prolonger jusqu’aux Pyrénées le très déficitaire Canal du Bas-Rhône (BRL) qui, en plus de 50 ans, n’a guère dépassé les 60 kilomètres, n’utilisant que 16 % de son autorisation de prélèvement sur les eaux du Rhône, en raison de l’échec de la reconversion de la viticulture languedocienne vers les cultures irriguées.

Et il fera revivre feu le Canal Rhône-Barcelone, dont les Espagnols n’ont plus voulu au lendemain d’Atocha en 2004, et des gigantesques manifestations « Agua para la vida » (1 million de personnes à Madrid en 2002 contre le Plan Hydrologique National qui visait à prolonger le canal Rhône-Barcelone de 950 kilomètres vers l’Andalousie pour le tourisme et l’agro-industrie d’exportation espagnole... El Dorado de Plastico).

Ce projet équipementier de bétonneur, alors piloté par Bouygues, actionnaire de BRL, aura fait perdre 20 ans aux Catalans pour trouver des solutions alternatives de gestion de leur demande en eau, allant jusqu’à faire démissionner trois directeurs de recherche du CNRS, membres du Conseil scientifique de BRL, quand les conclusions ont été réécrites à leur insu, mais en faveur du canal, par une certaine « Ecole montpelliéraine de l’eau », très proche du PS local. Qu’à cela ne tienne, on remplace les canaux par des tuyaux.

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Aqua Domitia, pourquoi ? par Thierry Ruf

Ainsi, à la faveur du transfert du capital de BRL, « La Région serait la première en France à maîtriser l’eau. Un patrimoine estimé à 1,4 milliards d’euros transféré de l’Etat à la Région. » claironne en une le n° 40 d’avril 2008 de Vivre en Languedoc-Roussillon, l’organe officiel du Conseil Régional présidé par Georges Frêche.

Les erreurs, maquillages et approximations dans ces articles d’auto-satisfaction « septimaniaque » ne manquent pas.

Quid de la dette de l’Etat envers BRL ? Quid des charges d’entretien et de maintenance du canal BRL et de ses prolongements, alors que les régions se plaignent partout des insuffisances de dotations des budgets territoriaux par l’Etat ? Quid des PCB de l’eau du Rhône que BRL distribue(-ra) pour les actuelles et futures usines de potabilisation (sic !) du Languedoc ? Quid des engagements euro-méditerranéens de la France à mieux gérer la demande en eau en limitant pertes et gaspillages alors que des dizaines de golfs sont prévus jusqu’aux Pyrénées ?

D’un autre côté, l’intégration entre Recherche-Enseignement Supérieur-Région-CG34-Secteur Privé est aussi en marche illustrant un partenariat public-privé pour l’eau dont le missi dominici régional est l’élu PS au Conseil Général de l’Hérault, Louis Calmels, vice-président de Verseau, un prof de physique retraité gentiment surnommé « hydro-céphale ». L’un des massacreurs de la patrimoniale source karstique des Cent Fonts par les pompages du Conseil Général !

Pour cela, il fallait bien invoquer la croissance démographique, le tourisme, la sécheresse et même le changement climatique, dont on a tenté de donner une caution scientifique ad hoc avec un congrès mondial organisé en septembre 2008 à... Montpellier sur le thème : « Changements globaux et ressources en eau ».

Main basse sur le Languedoc Retour à la table des matières

Mais cette intégration révèle des appartenances aquatiques croisées et vraiment consanguines...

Ainsi on notera sur le site web de l’IFR-ILEE (Institut Formation & Recherche-Institut Languedocien Eau et Environnement), qui regroupe unités de recherche et enseignements supérieurs des sciences de l’eau, la naissance annoncée d’un « Cluster Eau » (futur pôle Compétitivité Eau)…

Ce projet de pôle Eau n’était pas encore validé par le gouvernement, suite à la remise à plat du dispositif d’évaluation courant juillet 2008.

Mais la Préfecture de Région n’en mettait pas moins en place notre « Cluster » porté par l’Association Verseau..

Un comité comportant 12 sièges (6 de droit, 6 élus) devait être constitué avant l’été 2008. Les 6 sièges de droit revenant à 4 industriels (BRL, Veolia, 2 pour Swelia, 1 recherche (ILEE), 1 association (Verseau).

Swelia est un groupement d’entreprises du Languedoc-Roussillon dans le secteur Eau et Assainissement, fondé en 2007. Swelia comme une malheureuse contraction de... Suez-Veolia !

BRL-SA (ancienne Compagnie Nationale d’Aménagement du Bas-Rhône Languedoc) est membre du CA de Verseau, Verseau est membre du CA d’Agropolis, dont des chargés de mission sont des anciens du CG34, le directeur d’ILEE siège au CA de Verseau, le Président de Verseau est logé à la Maison des Sciences de l’Eau qui héberge ILEE, qui... etc. etc.)

L’esprit de ce cluster relève de celui d’un pôle, sans en avoir le label scientifique. Il devait fonctionne sur le principe d’un conseil d’administration de 12 membres (6 industriels, 4 Recherche et enseignement supérieur et 2 associations) dont 6 de droit. La présidence en était confiée… au directeur régional de Veolia Eau .

Le concept d’un pôle universitaire de prestige fondé sur une excellence scientifique thématique était ensuite évoqué à Agropolis.

Il s’inscrirait dans le contexte actuel d’émergence de 10 pôles d’excellence, parmi lesquels ne figure pas Montpellier (rapport Attali).

A Montpellier quatre spécialités seraient représentées : agronomie et biologie, chimie, santé, et physique informatique. L’accent est mis sur la nécessité d’imposer la thématique Eau. D’où cette action intense de lobbying aquatique « public-privé » en cours... où tout se tient.

On comprend le manque de transparence regretté par certains élus Verts et LCR. En effet, Veolia Eau est le « fermier » eau et assainissement (gigantesque station de traitement des eaux usées Maera) exclusif de l’agglomération de Montpellier depuis que Georges Frêche est aux commandes, et Veolia a racheté en 2008 le fermier indépendant Ruas qui desservait Alès et Lunel.

Cette mainmise de Veolia sur l’agglomération vient d’ailleurs de susciter des remous au sein du conseil municipal de Montpellier en mars 2009.

Un maillon de plus vers la « grande agglomération » d’Alès à Sète, en passant par Nîmes, et qui n’est que la préfiguration d’une Communauté Urbaine de Montpellier, si désirée par l’imperator Georges Frêche.

Un homme qui a de l’entregent…

Une chaire universitaire sur l’eau est désormais financée par Suez-Lyonnaise des Eaux à l’ENGREF (Ecole nationale du Génie Rural et des Eaux et Forêts) de Montpellier, qui forme les fonctionnaires du GREF…

Alors que la Chaire Veolia est promue par le Cluster Eau (Veolia, BRL, Verseau, ILEE,…) dans le cadre du projet Campus qui vise à regrouper les 3 universités de Montpellier, et à « intégrer » les centres de recherche publics (IRD, CIRAD, CNRS, Cemagref…).

D’ailleurs Pierre Chevallier, hydrologue IRD-MSE-ILEE-Verseau, a été choisi pour piloter le pôle Eau du projet Campus à la place de Patrice Garin (Cemagref). Certainement parce qu’il est le poulain du président de Verseau, Bernard Pouyaud, l’organisateur du Congrès mondial de l’eau de l’IWRA…

Un projet soutenable ? Retour à la table des matières

A la manœuvre donc cette fois, M. Georges Frèche, figure controversée du parti socialiste, et plusieurs de ses commensaux, promoteurs de cet invraisemblable projet « Aqua-Domitia », qu’ils portent sur les fonts baptismaux avec BRL, AXA, Séché environnement, Vinci, et Veolia-Suez évidemment. Surtout que Veolia est en embuscade sur l’agglomération de Montpellier dont M. George Frèche demeure l’irascible président…

Et c’est ici que les choses se corsent.

L’Agence européenne pour l’environnement (AEE) vient tout juste de publier en mars 2009 un rapport : « Water resources across Europe – confronting water scarcity and droughten » (Ressources en eau de l’Europe – faire face à la pénurie d’eau et à la sécheresse), où elle s’inquiète (à juste titre) de la surexploitation de l’eau en Europe et propose une série de recommandations pour une meilleure gestion de cette ressource.

Il souligne que les prélèvements trop importants dans les nappes de surface et souterraines exacerbent le « stress hydrique », y compris en Europe du Nord.

« Cette surexploitation a de fortes répercussions sur la qualité et la quantité de l’eau restante, ainsi que sur les écosystèmes qui en dépendent », déclarait la directrice exécutive de l’AEE dans un communiqué diffusé le 17 mars 2009.

Pour lutter contre la raréfaction de l’eau, elle insiste sur la nécessaire diminution de la demande et l’augmentation de l’efficacité de l’utilisation qui en est faite. Parmi les pistes d’amélioration, figurent plusieurs mesures concernant l’agriculture.

Ce secteur d’activité représente en effet 24 % des prélèvements d’eau européens, en seconde place derrière la production d’énergie (44 %). L’AEE propose notamment une facturation de l’eau sur la base du volume utilisé appliquée à tous les secteurs, y compris celui de l’agriculture, et l’interdiction des cultures bioénergétiques dans les régions les plus touchées par la pénurie d’eau. Elle suggère également d’améliorer le système de surveillance et de pénalités contre l’extraction illégale d’eau, « souvent à usage agricole ».

Enfin, concernant l’approvisionnement en eau, les autorités doivent inciter à l’utilisation de sources diverses, comme les eaux épurées, les eaux de pluie ou les eaux grises (eaux usées savonneuses). Alors que, dans certaines régions d’Europe, plus de 40 % des quantités d’eau destinées à la population sont perdues sous forme de fuites, il existe un potentiel non négligeable d’amélioration de la gestion de la ressource.

La crise espagnole a bon dos Retour à la table des matières

De ce rapport, et du reste, nos barons de l’eau n’en ont cure. Surfant sur la crise espagnole, ils s’apprêtent à pérenniser des modes de gestion de l’eau qui conduisent tout droit le littoral méditerranéen de la France à la catastrophe.

- L’Etat français a cédé l’an dernier, pour la coquette somme d’un milliard trois cent millions d’euros, le contrôle du bureau d’études Compagnie du Bas Rhône Languedoc (BRL) à la région Languedoc présidée par M. Georges Frêche. Il va donc falloir combler son déficit permanent en créant de « nouveaux marchés »…

- Sa filiale SEPA-LRC n’existe plus, elle était dirigée par un cadre de BRL, M. Francis Imbert, du temps où Bouygues et SAUR étaient présents dans le capital de BRL.

- Aujourd’hui, à la 3ème version du projet « Aqua-Domitia », le transfert de l’eau du Rhône vers l’Espagne n’est qu’un prétexte, ou un lointain horizon. Il s’agit d’abord d’interconnecter tous les réseaux hydrauliques agricoles (eau brute) et urbains de la région du Grand Montpellier dans un premier temps, puis jusqu’à l’Aude, et donc d’éliminer les syndicats intercommunaux et petits fermiers (c’est déjà fait avec Ruas, racheté l’an dernier par Veolia) en complexifiant le système et sa gestion. Un seul mot d’ordre : « Tout le pouvoir aux ingénieurs ! »

- Cette interconnection est en fait destinée à urbaniser l’arrière-pays montpelliérain et faire passer Montpellier, agglomération qui compte aujourd’hui 400 000 habitants au stade d’une Communauté Urbaine de plus de 500 000 habitants... « Pour être visible de la Lune », comme l’affirme le leader de la Septimanie (et sans doute de Paris, dotations budgétaires obligent).

- Vinci BTP veut faire construire le réseau d’interconnection hydraulique par sa filiale Sogea-Sud, qui a été rachetée à Veolia. Qui entend pour sa part reconduire son contrat d’affermage avec l’agglomération puis la (future ?) communauté urbaine de Montpellier.

Le P-DG de Sogea-Sud, M. Gérard Maurice, 60 ans, est dans le groupe Sogea depuis 1971, et avait financé le Palais des Congrès Corum de Montpellier dans le courant du premier contrat d’affermage signé par la CGE en 1989. Il est, depuis 1985, président de Sogea-Sud à Montpellier.

Il est également membre du bureau de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) et président de Canalisateurs de France depuis janvier 2004. Ainsi que président du Conseil Economique et Social régional Languedoc-Roussillon, où il côtoie l’énarque « passé au privé » Yves-Thibault de Silguy, P-DG de Vinci depuis juin 2006, et Délégué Général de Suez, où il est directeur général aux affaires internationales.

Canalisateurs de France est une organisation professionnelle membre de la Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP). Elle fédère 400 entreprises spécialisées dans la pose et la réhabilitation de canalisations d’eau potable, d’eaux usées et de gaz, soit 30 000 salariés.

- Une fois ce projet d’interconnection réalisé, financé sur fonds régionaux, l’extension vers les Pyrénées-orientales, puis Barcelone et Valence, gérée par des filiales de la Lyonnaise-Suez, pourrait être « poussée » plus facilement, selon ses promoteurs. Contrairement au projet précédent « Canal/aqueduc Rhône-Barcelone », qui visait à desservir d’abord Barcelone. Une stratégie Amont-Aval au lieu d’une stratégie Aval-Amont en quelque sorte.

La crise de l’eau espagnole a bon dos…

A l’heure où des millions de Français ont été interrogés par les Agences de l’eau dans le cadre d’une « grande consultation nationale » sur l’avenir de l’or bleu, on suggère volontiers à nos amis bétonneurs d’organiser au plus tôt un nouveau « Sommet méditerranéen de l’eau », entre Sète et Cadaquès, et d’interroger les Septimaniens :

- Etes vous favorables à l’inscription d’Aqua Domitia dans les SDAGE Rhône Méditerranée Corse et Adour Garonne ?

- Afin d’accroître la compétitivité du pôle agricole méditerranéen, quel taux de croissance du secteur agricole faut-il définir à l’horizon 2020 : 10 %, 20 %, 30 % ?

- Quel taux de croissance de l’habitat à l’horizon 2020 vous semble-t-il compatible avec la préservation de votre environnement : 10 %, 20 %, 30 % ?

- A quelle distance de votre domicile souhaitez-vous pouvoir disposer des commodités d’un golf ?

- Accepteriez vous que votre facture d’eau augmente de 30, 50, voire 80 % pour financer Aqua Domitia ?

- Quel est votre candidat favori à la présidence du futur Etablissement d’Aménagement du Littoral Méditerranéen : Jean-Marie Messier, Bernard Tapie, Antoine Zacharias ?

Lire aussi :

Le remarquable dossier intitulé « Les enjeux de l’eau de l’agglomération de Montpellier et de la Région » réalisé par les Verts de Jacou (34), auquel cet article doit beaucoup.

Notes

[1] Pour des raisons politiques internes espagnoles et par l’Europe, consécutivement à l’interruption des financements FEDER pour l’Ibérie.

PERMALINK

Des chercheurs dévoilent un vaste réseau de cyberespionnage opérant depuis la Chine

Vincent Birebent, publié le 30 mars 2009

Un rapport d’experts canadiens en sécurité avance que la Chine héberge un vaste réseau de cyberespionnage. Baptisé « Ghostnet », il aurait infiltré les machines de nombreuses représentations diplomatiques et ministères de pays étrangers.

Fruit de dix mois d'enquête menée par des experts en sécurité canadiens, le rapport du Munk Center, intitulé Investing a Cyber Espionnage Network*( voir le rapport ci-dessous) tendrait à prouver qu'un vaste système d'espionnage informatique opère à partir de la Chine, et qu'il aurait déjà permis d'infiltrer près de 1300 ordinateurs abritant des données « sensibles » dans 103 pays.

Baptisé « Ghostnet » par les chercheurs, ce réseau d'ordinateurs utilisés à des fins de piratage aurait pénétré les machines des ambassades de nombreux pays d'Asie comme celles d'Inde, d'Indonésie, de Corée du Sud, de Malaisie, de Thaïlande ou de Taiwan, mais aussi les ordinateurs des représentations des partisans du Dalai Lama à Bruxelles, Londres et New York.

Les systèmes informatiques des ministères des Affaires étrangères de l'Iran, du Bangladesh, des Philippines ou encore du Sultanat du Brunei auraient également été infiltrés, tout comme les machines situées aux sièges de l'Asean (Association des nations du sud-est asiatique), de la Banque Asiatique pour le développement et même un ordinateur non sécurisé au siège de l'OTAN.

Pas de preuve de l'implication du gouvernement de Pékin

Une fois les machines corrompues, les membres du réseau Ghostnet y placent un cheval de Troyes qui leur permet de prendre connaissance des données qui y sont stockées. Si les chercheurs ont réussi à démontrer que 70 % des serveurs faisant partie du réseau utilisent des adresses IP assignées en Chine, rien dans leur enquête ne prouve que le gouvernement de Pékin est à l'origine de ces attaques.

Joint par Associated Press, l'ambassade de la République Populaire de Chine au Canada a refusé de commenter ce rapport.

Lancée à partir de juin 2008, cette enquête est partie d'une demande du gouvernement tibétain en exil pour vérifier les ordinateurs de ses représentations diplomatiques à Dharamsala, en Inde, ainsi que dans plusieurs pays occidentaux.

(*) Enquête sur un réseau de cyberespionnage

Tracking GhostNet: Investigating a Cyber Espionage Network

Par Vincent Birebent, ZDNet France

PERMALINK

Reportage : Micro-puce sous-cutanée



No Microchip
No Chip

Micro-puce sous-cutanée pour humains: l'article !


Micro-puce sous-cutanée :

la menace ultime pour l’humanité !

La "verichip" d'Applied Digital Solutions...

1. Introduction :

Les puces électroniques sont aujourd’hui devenues si « banales » que nous n’y prêtons même plus attention. Elles sont partout : dans nos machines à calculer, nos ordinateurs, nos appareils ménagers etc.

Mais depuis quelques années, nous les trouvons aussi sur nos cartes de banques, voire nos cartes de sécurité sociale ou même…nos cartes d’identité ! On implante même aujourd’hui sur des animaux des micro-puces fort proches de celle dont il est question dans cet article, et qui contiennent des données médicales sur l’animal (nom,vaccinations etc.) et permettent de l’identifier, de le localiser, de le traquer et de le retrouver par satellite lorsqu’il s’est perdu ou échappé. Bref, ce qui n’était hier encore que science-fiction est aujourd’hui bien réel.

Poursuivons un peu la réflexion : si l’on est parvenu à appliquer cette technique sur des animaux, pourquoi ne pourrait-on pas en faire de même sur les êtres humains ?

C’est en tout cas techniquement et technologiquement possible. Bien sûr, il y a des règles morales, éthiques, légales, ainsi que les Droits de l’Homme (qui sont bafoués chaque jour) pour nous « protéger »… Mais ces barrières sont-elles réellement suffisantes et efficaces ???

A priori, cette hypothèse d’une micro-puce implantée à grande échelle sur des humains pourrait relever de la paranoïa… Mais après la lecture de ce qui suit, peut-être changerez-vous d’avis. Ce qui se préparait - à notre insu - a heureusement fait surface, et un scénario digne des pires cauchemars pourra donc - PEUT-ETRE ! - être évité grâce à nous, grâce à VOUS, si vous réagissez à temps ! Alors, DEBOUT ! C’est le moment ou jamais d’agir, dès aujourd’hui, pour vous, pour vos enfants et pour les générations futures, ou bien cette planète sera bientôt peuplée de zombies guidés par la volonté de ceux qui leur auront implanté la micro-puce…

A présent, lisez cet article jusqu’au bout et faites-vous votre propre opinion. Le choix vous appartient… J’espère cependant que vous déciderez de bouger, car les choses dont nous allons parler se passent ICI et MAINTENANT ! Vous pourrez également vérifier le contenu de cet article en vous rendant sur des sites web se référant au sujet dont il est question ici.

2. Histoire de la micro-puce sous-cutanée pour humains :

La micro-puce sous-cutanée pour humains (que nous appellerons aussi « microchip » dans ce document) ne date pas d’hier ; cela fait plus de 30 ans que l’on travaille dessus, comme le montre le témoignage du docteur Sanders.

Le docteur Carl W. Sanders est un ingénieur en électronique et un inventeur qui a travaillé auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnies telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn. Durant 32 ans, il a œuvré dans le domaine bio-médical, mettant au point des micro-puces.

En 1968, il participe à un projet de recherche concernant un pontage spinal, afin de soigner une dame dont l’épine dorsale était endommagée. Le but était de trouver une solution pour relier les nerfs moteurs etc. Ce projet aboutit à la création d’une micro-puce (« microchip », en anglais) qui se recharge de façon autonome grâce aux changements de température du corps humain, ce qui lui donne une durée de vie pratiquement illimitée. Pour ce faire, elle possède un circuit de rechargement thermo-électrique, ainsi qu’une petite pile au lithium (pile rechargeable). Il est intéressant de noter ici qu'en ce temps-là, le lithium était à beaucoup utilisé, notamment par la NASA. Il fut confirmé au Dr. Sanders par un docteur du Centre Médical de Boston que si la micro-puce venait à se briser dans le corps humain, cela provoquerait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus. Mais « on » décida malgré cela d’utiliser une pile au lithium pour la micro-puce…

On découvrit, après plus d’1,5 millions dépensés dans ce but, que les 2 endroits du corps humain où la température change le plus rapidement sont le front (juste en bas de la naissance des cheveux) et le revers de la main. Par suite de considérations financières (la puce ne « rapportait pas assez »), il fut signifié aux responsables du projet qu’ils devaient trouver de nouvelles applications pour cette puce

Comme il avait été remarqué que le changement de fréquence de la micro-puce avait des effets sur le comportement une fois qu’on l’avait implantée dans le corps, « on » orienta les recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain à l’aide de la micro-puce. Cette dernière pouvait diffuser un signal qui stimulait certaines parties du cerveau. On pouvait, par exemple, augmenter le taux d’adrénaline, ce qui provoquait un changement de comportement…

De plus, selon les découvertes effectuées par Karl Sanders et son équipe, le contrôle des naissances peut être effectué via l'utilisation de la puce qui arrête le rendement de la glande pituitaire (= hypophyse), ce qui produit une ménopause instantanée. Ceci a été examiné en l'Inde et dans d'autres secteurs du monde. Le but des puissances contrôlant le monde est de réduire la population globale de 90% : une taille qui, selon eux, est contrôlée plus facilement.

Lors d’une réunion devant des membres de la C.I.A. et d’importantes personnalités telle que Henry Kissinger (ancien secrétaire d’Etat américain partisan d’un Nouvel Ordre Mondial et au passé plus que douteux ; sous le président Nixon, il supervisa personnellement les opérations majeures de la C.I.A. et du F.B.I., et il dirigea les chefs d’état-major de l’armée), on fit remarquer au Dr. Sanders que, pour pouvoir contrôler un peuple, il fallait d’abord pouvoir l’IDENTIFIER.

Il fallut donc encore une fois réorienter le projet et ajouter à la micro-puce la faculté d’emmagasiner (et de restituer) des données qui pourraient inclure le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (avec les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt et son dossier médical. La « restitution » des données peut se faire à l’aide d’un scanner spécial qui analyse et traite les données contenues dans la puce…

A l'époque, le Dr Sanders travaillait pour la compagnie Lucent Technologies. Il baptisa sa micro-puce sous-cutanée pour humains la #BT952000 (le signe "#" signifie "numéro" en anglais et remplace notre signe "n°"). Lors de l'invention et de la mise au point de la puce #BT952000, l'ordinateur que Sanders utilisait était un "Data-Net 30"... Cet ordinateur possédait déjà un nom à 18 bit, 3 groupes de 6 bit, pour être précis. Sanders (qui n'était pas croyant à l'époque ni ne prêtait attention aux nombres etc.), utilisa aussi, par logique et facilité, un nom correspondant à 18 bit, divisés en 3 groupes de 6 bit (6,6,6)... Par après, le Dr Sanders a réalisé qu'on l'avait trompé et qu'il avait en définitive participé à l'élaboration d'une horreur indicible, peut-être même la "marque de la Bête" dont il est question dans l'Apocalypse de St Jean (voir paragraphe 6 de cet article). Devenu croyant depuis, il parcourt le monde pour mettre les gens en garde contre ce genre de technologie...

Deux types de scanners destinés à restituer les données de la micro-puce sous-cutanée pour humains : à gauche, le modèle portatif, à droite, le modèle "portique"...

Parmi ses composantes, la micro-puce possède un émetteur-récepteur qui envoie un signal numérique à base de pulsions transmettant 85 éléments de données. Il émet aussi, à intervalles réguliers, un signal analogue créé numériquement. Utilisé comme un relais, ce signal envoie des informations essentielles, servant éventuellement à localiser le porteur. Le porteur de la microchip devient donc une « antenne vivante » pouvant être repérée à tout moment par satellite !!!

Le docteur Sanders assista à 17 réunions à travers le monde (dont Bruxelles et le Luxembourg) où ces sujets furent discutés dans l’esprit d’un gouvernement mondial et d’une monnaie mondiale. (Avant de pouffer de rire à l'idée d'une monnaie mondiale, regardez l'évolution en Europe, par exemple : les monnaies nationales ont été remplacées par une monnaie supranationale (cf. l'euro); de plus, jetez donc un coup d'oeil au projet "Terra" que le Da Vinci Institute et le Future of Money summit nous préparent, car il s'agit clairement d'un projet de monnaie unique. Pour plus de renseignements à ce sujet, rendez-vous sur http://www.paroledevie.org/base/articles/html/A278_terra.htm ou sur http://www.futureofmoneysummit.com/terra-project.php ).

Se rendant compte des possibilités terrifiantes de la micro-puce, Carl Sanders, après avoir terminé le projet, décida de faire de la prévention et d’avertir les populations des dangers que représente la micro-puce. Cette micro-puce, grâce à la miniaturisation, ne mesure pas plus qu’un grain de riz, contient 250.000 pièces et peut être implantée sous la peau à l’aide d’une seringue hypodermique et sous anesthésie locale.

L'une des premières micro-puces d'identification fut le transpondeur TX1400L de la société Destron (brevets U.S. 4730188 et 5041826), initialement conçu pour les animaux MAIS dont la littérature disait "bien que conçu pour être injecté dans des animaux, ce transpondeur peut être utilisé pour d'autres applications exigeant une micro-étiquette d'identification" !

Le Dr Daniel Man fut le premier détenteur d'un brevet aux USA pour un implant à utilisation sur l'être humain. Il s'agissait de retrouver les enfants perdus ou enlevés...

Jack Dunlap, un entrepreneur d'Arizona, proposa le système KIDSCAN. Ce système était supposé suivre les enfants munis de la puce d'identification qui aurait envoyé des signaux aux satellites... Ce système ne vit cependant (heureusement) jamais le jour... Mais aujourd'hui, des systèmes similaires existent, y compris pour les enfants ! Nous allons le voir dans la suite de cet article.

Par ailleurs, les enfants ont TOUJOURS été une priorité et une cible particulière dans le développement des micro-puces sous-cutanées pour humains. La raison en est expliquée dans le point 5 (Comment "on" essaiera de nous faire accepter cette maudite micro-puce).

Implantée sous la peau à l'aide d'une seringue hypodermique et sous anesthésie locale...

3. Et aujourd’hui ?

A l’heure où la médecine utilise la micro-chirurgie et commence à utiliser de petites « pilules électroniques » photographiant notre corps de l’intérieur (voyez à ce sujet le site http://www.givenimaging.com et renseignez-vous sur la pilule-caméra M2A) ; à l’heure où l’on parle de plus en plus de « nanotechnologie » (technologie miniaturisée jusqu’à une échelle pratiquement microscopique) ; alors que la pilule abortive est en vente dans les pharmacies, que les implants contraceptifs sont utilisés et que certaines expérimentations génétiques sur les embryons ont été adoptées ; alors que les expériences de clonage ont débuté, alors que l’on commercialise massivement des téléphones cellulaires (G.S.M.) dont les ondes et la fréquence se révèlent dangereuses pour la santé, que constatons-nous ?

- Tout d’abord, nous avons été amenés progressivement à adopter les codes-barres, puis les puces électroniques sur nos cartes (bancaires, de sécurité sociale, voire même d’identité pour certains pays - la nouvelle carte d’identité belge en est un exemple), et enfin les micro-puces implantées sous la peau de nos animaux domestiques, et appelées « transpondeurs » pour l’occasion.

La question étant : quelle sera la prochaine étape ???

- Ensuite, nous possédons à présent des systèmes performants d’orientation ou de repérage par satellite (les antennes relais et le système GPS - Global Positioning Satellite - par exemple)

- Nos découvertes en matière d’armes chimiques, bactériologiques ou nucléaires ont nettement progressé

- Les systèmes gouvernementaux et leurs institutions ont dépassé le simple cadre de l’Etat-nation et sont de plus en plus basés sur des conglomérats internationaux (O.N.U, O.M.C., O.C.D.E., F.M.I., banque mondiale) que l’on sent devenir de plus en plus mondiaux

- L’économie prime sur énormément de choses et connaît le phénomène de la « mondialisation » ou « globalisation », avec une hégémonie d’entreprises multinationales dont le pouvoir est tel qu’il dépasse parfois celui de certains pays

- Les médias disposent d’un pouvoir d’impact énorme sur les masses ; les systèmes de transmission et d’information sont plus rapides que jamais.

Mais au fait, quoi de neuf au niveau de la micro-puce ?

Eh, bien ! Aujourd'hui, la micro-puce fait partie de ce que l'on appelle les technologies "RFID" (Radio Frequency Identification Devices ou "dispositifs d'identification par radiofréquence").

Sachez qu’aux Etats-Unis, il est possible depuis la fin de l’année 2002 pour tout citoyen de se faire implanter la puce, et ce pour la « modique » somme de 200 dollars !!! En effet, la firme A.D.S. (Applied Digital Solutions Inc.), via sa filiale « Verichip », a été autorisée à commercialiser sa microchip, qui porte également le nom de « verichip ». La « verichip », dans sa configuration actuelle, fonctionne de la même façon que les portables que nous connaissons bien, avec les antennes relais et le système GPS (satellite). Son porteur devient ainsi totalement repérable depuis l’espace. Si vous croyez que ceci est une mauvaise blague, allez donc visiter le site suivant : http://www.adsx.com

En outre, cette micro-puce possède un numéro de série unique à 18 chiffres, et ce numéro est divisé en trois groupes de 6 (6,6,6 … cela vous rappelle-t-il quelque chose ?).

« Mais où est le problème ? », penserez-vous, puisque ces braves gens ont choisi cette option en toute liberté de choix ? Et bien le problème, il se situe ici : il existe des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d’injecter la micro-puce aux enfants dès leur naissance, soi-disant « à des fins d’identification ». De plus, le président des U.S.A., selon l’article 100 de la loi sur le contrôle de l’immigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d’identification qu’il juge nécessaire, y compris une micro-puce insérée sous la peau. La microchip a déjà été utilisée lors de la Guerre du Golfe en août 1991 ; elle a déjà été testée et implantée sur des militaires, des employés du gouvernement et sur du personnel d’entreprise.

Toujours aux U.S.A. , l'ex-ministre de la justice (qui est aussi un général), John Ashcroft, a permis ces dernières années le développement de « camps d’internement pour civils » . Dans une vidéo dénommée « Gulag USA », il a été prouvé que ces camps regorgent d’instruments de torture, mais aussi que l'on projette d'y utiliser des dispositifs permettant d’implanter les prisonniers avec la micro-puce sous-cutanée pour humains !!! Durant la seconde guerre mondiale, les nazis « marquaient » les prisonniers à l’aide de tatouages à l’entrée des camps… Aujourd’hui, les USA, dans ces camps pour civils, marqueraient les prisonniers (des civils !) avec des micro-puces sous-cutanées afin de les identifier et de suivre leur moindre mouvement !

Plus inquiétant encore : tout dernièrement, la presse indépendante U.S. a signalé l’existence d’un projet qui rendra obligatoire le « puçage » des sans domicile fixe dans 5 Etats, dont New York et la Californie ! On va donc commencer à rendre cette micro-puce sous-cutanée pour humains OBLIGATOIRE, et en commençant par les parties les plus faibles de la population !

Le faux prétexte invoqué effectue un amalgame entre les SDF et les criminels (les SDF sont « facilement criminalisables ») !!!

La Food and Drugs Administration (organe officiel chargé d'étudier tous les médicaments, de les valider ou de les réfuter pour le marché américain) à donné la permission à la verichip d'être utilisée dans les hôpitaux U.S. à des fins médicales, et ce alors même que cet ignoble implant représente de façon certaine des dangers pour la santé (voir au point 4) !!!

Question : qui, au cours de sa vie, ne se rend pas au moins une fois à l'hôpital ? Si l'on commence à "pucer" les malades dans les hôpitaux à de prétendues fins de "monitoring médical", c'est toute la population qui risque d'y passer tôt ou tard !!!

La Food and Drugs Administration vient aussi de classifier définitivement la verichip comme étant un "dispositif médical de classe II requérant des contrôles spéciaux" !

Des "intellectuels" et des patrons américains commencent à se faire "pucer"

Et la verichip commence à être employée dans les hôpitaux américains ! Par exemple, le centre médical de Beth Israel Deaconess basé à Boston a installé dans sa salle des urgences des scanners/lecteurs de micro-puces verichip, et s'apprête à pucer les patients !!!

Toujours aux U.S.A. , un bus appelé le "Chipmobile" sillonne les différents états, en encourageant les gens à se faire pucer ! Et lorsqu'ils trouvent un endroit où de nombreuses personnes inconscientes sont intéressése et souhaitent se faire pucer, les dirigeants de Verichip Corp. font construire un centre Verichip pour diffuser la puce et son influence !

Enfin, en ce qui concerne les dernières nouvelles alarmantes en provenance des U.S.A. , un ancien gouverneur et ministre de la santé sous George W. Bush, Tommy Thompson, vient d'être nommé au sein du conseil de Applied Digital Solutions et devrait se faire pucer d'ici peu de temps.

MAIS LE PLUS GRAVE, C'EST QU'IL VIENT DE DEPOSER (juillet 2005) UN PROJET DE LOI QUI, S'IL EST ADOPTE, PERMETTRAIT QUE TOUS LES CITOYENS AMERICAINS SOIENT PUCES !!!

En septembre 2005, suite à l'ouragan Katrina, Verichip Corporation a pucé les cadavres des victimes de cette terrible catastrophe naturelle. Encore un peu de pub gratuite pour les crapules de chez Verichip... En outre, des stocks de micro-puces sous-cutanées pour humains ont été effectués en Louisiane et au Mississipi, soi-disant "au cas où il y aurait d'autres catastrophes naturelles"...

Mais il n’y a pas qu’aux U.S.A. que la microchip fait des ravages, et actuellement on peut même dire que toutes les zones du monde sont concernées par ce terrible problème ! Voyez plutôt…

Il y a peu, Applied Digital Solutions (la compagnie qui commercialise la micro-puce sous-cutanée) a signé des accords commerciaux pour la « Verichip » avec de nouveaux pays. C’est ainsi que le Mexique, la Corée du Sud, le Venezuela, l’Argentine, la Colombie, les îles Caraïbes, la République Dominicaine, Porto Rico, le Paraguay, l’Uruguay, le Brésil, le Chili, l’Amérique Centrale et l’Afrique du Sud ont été contaminés en l’espace de quelques mois par le phénomène de la micro-puce sous-cutanée. Au Mexique et au Brésil, les enfants sont déjà implantés !

Il y a très peu de temps, le ministre le la justice mexicain s’est fait implanter la verichip sous la peau ainsi qu'un certain nombre de ses employés !!!

Et la Malaisie vient d’acheter des micro-puces (d’une marque différente de celles d’Applied Digital Solutions) qui peuvent s’utiliser de différentes manières, notamment sous la peau et « à des fins de repérage et d’identification »…

La Malaisie vient également d'adopter la verichip : en effet, certains pays d'Asie viennent de signer un accord avec Applied Digital Solutions et Verichip Corp. pour l'achat et la distribution, étalée sur 3 ans, de 65.825 verichips et de 4.687 scanners minimum ! Ces pays sont la Malaisie, l'Indonésie, la Thaïlande et la Corée du Sud !

Le Canada, via la Colombie Britannique, vient d'être touché : en effet, Applied Digital Solutions vient de faire une offre pour acheter une compagnie basée en Colombie Britannique et appelée EXI Wireless Inc. Cette acquisition ajoutera environ 200 revendeurs et distributeurs à VeriChip Corporation !!! Le but clairement avoué est de répandre et de distribuer la verichip au maximum dans les hôpitaux américains et canadiens !

Et désormais, l'Afrique, Singapour, Taiwan et l'Arabie Saoudite possèdent eux aussi leur distributeur agréé Verichip !

En novembre 2003, lors d’un salon de la sécurité qui se déroulait à Paris, le patron d’Applied Digital Solutions a fait une déclaration fracassante en révélant que la verichip pourrait être le « moyen de protection ultime » et qui, en plus, pourrait amener les gens à une société sans argent cash et sans chèques ! Il semble donc bien que le but d’utilisation de la micro-puce sous-cutanée pour humains en tant que « monnaie unique » signalé par Carl W. Sanders soit en train de se confirmer !!!

Suite au tremblement de terre et aux raz-de-marée qui ont ravagé l'Asie fin 2004, certains cadavres ont été "pucés" à des fins d'identification ultérieure, afin aussi "d'éviter les épidémies" et de permettre aux familles déjà rudement éprouvées de ne pas souffrir un peu plus à l'idée qu'un de leur membre reposerait dans une tombe anonyme". Il s'agit en réalité de prétextes humanistes ou médicaux pour faire paraître ces puces comme "utiles", "pratiques" et "incontournables" aux yeux de l'opinion publique...

Enfin, en ce qui concerne l’Europe, Applied Digital Solutions vient de trouver un distributeur agréé en…Espagne (là où les attentats « terroristes » de Madrid se sont produits… un « hasard » ?) ; au Royaume-Uni (grand ami des USA), on a décidé de suivre le mouvement de dictatorialisation mondial, puisque Applied Digital Solutions, via sa filiale Verichip Corporation, a signé des accords commerciaux avec la compagnie londonienne Surge IT Solutions pour la distribution de la verichip : 9000 micro-puces sous-cutanées pour humains et 110 scanners ont été commandés ! La Suisse et la Russie se sont également jointes au nombre de pays concernés en commandant un certain nombre de micro-puces sous-cutanées « verichip » et de scanners « verichip readers », les Pays-Bas, l'Italie et l'Allemagne (septembre 2005 pour l'Allemagne) ont été touchés également, et c'est à présent la France qui est dans le viseur d'Applied Digital ! L’Europe n’est donc pas épargnée, et la micro-puce sous-cutanée pour humains est donc déjà bien présente sur le sol européen !!!

Plus de 30 pays de par le monde (dont des pays européens) sont donc déjà touchés par le fléau de cette micro-puce sous-cutanée pour humains ! Tout ceci semble bien confirmer le « plan mondial » que le docteur Karl W. Sanders a dénoncé il y a belle lurette !

Pire : en Espagne, à Barcelone, une chaîne de boîtes de nuit appelées « Baja Beach Club », utilise la verichip comme un abonnement pour ses fidèles clients et pour ses « V.I.P. » (very important persons). Le patron de cette boîte encourage les gens à se faire implanter ! Et depuis juin 2004, la verichip est proposée dans le « Baja Beach Club » de Rotterdam, aux Pays-Bas. La verichip serait bientôt proposée aussi dans un nouveau Baja Beach Club, à Cologne (Allemagne)... Un bar, appelé le Bar Soba, à Glasgow, Royaume-Uni (le Royaume-Uni, qui, rappelons-le, possède son distributeur officiel de verichip), propose à présent lui aussi la verichip à ses habitués, et son patron, comble du "hasard", s'est fait pucer... au Baja Beach Club de Barcelone !

La verichip risquerait-t-elle donc de devenir un « gadget à la mode » ? On essaie en tout cas tout ce qui est possible pour y parvenir…

En Italie, la verichip a été introduite depuis avril 2004... dans une clinique de Rome, et elle a reçu une récompense en mars 2005 !

En France, le gouvernement a prévu prochainement, pour les personnes âgées des maisons de retraite, des bracelets à puce RFID ou... l'implantation de la verichip !!! Et Verichip Corporation a prévu de trouver, d'ici la fin de l'année 2005, un distributeur fiable pour la France !

Toujours en Europe, le développement des cartes d’identité à puce et des transpondeurs (= micro-puces sous-cutanées) pour animaux, notamment suite au soi-disant « péril terroriste » qui nous menace tous et qui sert de prétexte à tout, ne constitue qu'une étape qui nous mène à la verichip et nous montre donc que nous, humains, risquons fort de suivre très prochainement le même chemin, d’autant plus que la micro-puce sous-cutanée pour humains (la « verichip ») est déjà sur notre sol !!!

TOUT RECEMMENT, le "groupe européen d'éthique en sciences et en nouvelles technologies" a remis à la Commission européenne un rapport sur les "implants ICT" (implants des nouvelles technologies de l'information et de la communication) dont la micro-puce sous-cutanée fait partie.

Dans ce rapport, le groupe "d'éthique" reconnaît les dangers de l'implant, au niveau de la vie privée mais aussi au niveau de "l'identité humaine" et de la "subjectivité individuelle" (donc, l'influence de ces implants sur le libre-arbitre et le contrôle comportemental est bien reconnue !) ! Mais ce groupe "d'éthique" reconnaît également l'usage "bénéfique" qui peut être fait de la microchip à un niveau médical ! Et à un niveau non médical, il estime que si le législateur se trouve dans une situation le forçant à utiliser cette technologie pour de la SURVEILLANCE ou plus (ce genre de situation extrême n'est bien sûr pas précisée ni décrite dans ce rapport), alors l'utilisation de ce type d'implant devrait être autorisée !

Sur un mode encore plus inquiétant, ce rapport nous cite les implants CEREBRAUX et nous parle "d'amélioration de l'humain", notamment en ce qui concerne les personnes possédant de légères malformations génétiques ainsi que des maladies ou déficiences et autres anomalies non visibles au premier coup d'oeil !!! Serions-nous donc revenus au temps des nazis, avec leur théorie grotesque du "surhomme" et l'élimination ou l'exploitation des faibles, des handicapés etc. ???

Le G29 (un comité consultatif de la Commission européenne) a publié un rapport sur les RFID. Ce rapport, en substance, reconnaît les dangers des RFID pour la vie privée, MAIS NE PRECONISE AUCUNE ACTION NI REGLEMENTATION AVANT QUE DES ABUS N'AIENT ETE COMMIS !

L'Europe est donc plus que jamais menacée par cette technologie liberticide et hyper dangereuse !!!

Et puis, il existe aussi un autre type de micro-puce qui se place même sur les produits de consommation, pour des raisons « de logistique ». Ce système est déjà employé par l’armée américaine depuis un bon bout de temps, mais les entreprises privées s’y mettent aussi : les rasoirs Gillette et vêtements Benetton, ainsi que les supermarchés « Carrefour » vont joindre à leurs produits des puces minuscules qui émettent des signaux et qui, officiellement, leur permettraient de «réapprovisionner les magasins » dès que ceux-ci sont en rupture de stock de leurs produits. Mais qui connaît exactement le rôle de ces « mouchards » que nous risquons fort de ramener chez nous ? Certains groupes de consommateurs, telle l’association américaine CASPIAN, crient déjà, et avec raison, au scandale et à l’invasion de la vie privée…

Question : la "verichip" d'Applied Digital Solutions est-elle la SEULE micro-puce sous-cutanée pour humains à ce jour ?

NON, absolument pas ! Pour l'instant, la verichip d'Applied Digital Solutions est simplement celle dont on parle le plus au niveau des médias. Le répugnant marché des micro-puces sous-cutanées pour humains a tendance à prendre de l'expansion, et comme une idée (bonne ou mauvaise) qui rapporte de l'argent sur un marché potentiellement très juteux et en plein développement est souvent suivie par différentes compagnies (loi de la concurrence oblige, et ce en dépit de toute morale et de l'éthique), nous voyons actuellement d'autres sociétés productrices de ces maudits implants de développer !

Ainsi, par exemple, la firme européenne TROVAN, elle aussi, commercialise une micro-puce sous-cutanée (voir le site http://www.trovan.com). Il en existe 2 modèles : la Trovan ID 100 IH, et la Trovan ID 100 IH/A. La différence entre les deux modèles n'est pas précisée, mais peut-être que l'une est un modèle "passif" et que l'autre est un modèle "actif"...

Le pire, c'est que Trovan possède déjà de très nombreux distributeurs agréés ! En effet, les produits Trovan sont déjà utilisés par 80 agences gouvernementales et par plus de 20 pays !

L'Argentine, l'Australie, le Bénélux (Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) , le Brésil, le Canada, le Chili, le Costa Rica, la République Tchèque, l'Allemagne, la Grèce, l'Inde, Israël, l'Italie, le Japon, la Corée, la Malaisie, le Mexique, le Paraguay, le Pérou, la Pologne, la Russie, la Scandinavie (Suède, Norvège, Finlande, Danemark), la Slovaquie, la Slovénie, l'Afrique du Sud, l'Espagne, Taiwan, le Royaume-Uni et (évidemment) les USA possèdent déjà un distributeur agréé Trovan !!!

La micro-puce malaisienne qui peut, entre autres, être utilisée de façon sous-cutanée chez les humains, est quant à elle produite par la compagnie FEC Inc.

Et bien entendu, les dangers de toutes ces micro-puces sous-cutanées sont les mêmes, ainsi que les applications possibles et les nombreux risques de dérives !!!

4. Les véritables dangers de la micro-puce et de son fonctionnement

Les risques présentés par cette nouvelle technologie sont multiples :

- Comme nous avons pu le voir, la micro-puce contient de très nombreuses données, dont certaines qui sont très personnelles (généalogie de la famille, renseignements sur les déclarations d’impôts, casier judiciaire etc.). L’utilisation d’une telle micro-puce pourrait donc constituer une violation flagrante des droits sur la vie privée. Actuellement, même les policiers ne possèdent pas autant de renseignements sur les individus !!! Il faudrait en fait rassembler les renseignements détenus par la police, l’administration communale, le ministère des finances, les banques, les médecins et les organismes de sécurité sociale pour obtenir des informations aussi précises et complètes !

- Etant donné les performances actuelles des satellites (les plus puissants sont pratiquement capables de voir, depuis l’espace, le contenu d’un magazine que nous sommes en train de lire) et des systèmes de repérage (GPS), on est en droit de craindre que la micro-puce serve à observer nos moindres faits et gestes. Nous pourrions non seulement être repérés, mais aussi éventuellement filmés à tout instant. Il s’agit donc là d’une violation de nos droits les plus fondamentaux mais aussi d’espionnage manifeste. On ne peut que frissonner en pensant aux applications qu’« on » pourrait faire à partir de cette micro-puce. La liberté d’action, d’association, d’expression (voire de choix) sont menacées ! Bref, grâce un pouvoir d’intimidation inégalé, la micro-puce ouvre une voie royale à « Big Brother » !!!

- Et puis, bien entendu, il y a d’immenses risques au niveau de la santé : tout d’abord, le risque de rupture de la micro-puce à l’intérieur de l’organisme, bien que minime, entraînerait une plaie douloureuse et purulente, due au lithium contenu dans la pile minuscule de la microchip, comme nous l’avons vu plus haut; il y a aussi le risque de jouer avec les hormones du corps humain (arrêter le débit de la glande hypophyse, par exemple !); ensuite, étant donné que les ondes générées par la micro-puce agissent directement à l’intérieur de l’organisme et sur le comportement, on ne peut qu’imaginer les dégâts sur la santé des individus ! Tout dernièrement, un article, basé sur le rapport que la Food and Drugs Administration avait rendu, a reconnu les risques médicaux de la micro-puce sous-cutanée pour humains. Ces risques sont les suivants : une réaction défavorable des tissus, la migration du transpondeur implanté, l'échec du transpondeur implanté, une interférence électromagnétique, des risques électriques, une incompatibilité avec l'imagerie à résonnance magnétique (IRM) et avec l'aiguille. Au niveau de l'imagerie à résonnance magnétique, des courants électriques peuvent être induits dans les implants conductreurs en métal qui peuvent causer "des brûlures potentiellement graves chez les patients."

- Mais il y a bien pire… Ne soyons pas naïfs : ce n’est certainement pas pour rien que la CIA et des membres éminents du gouvernement qui étaient impliqués au niveau de l’armée ont fait effectuer des recherches sur la manipulation du comportement par les ondes et sur le contrôle des êtres humains ! Nous savons que l’énergie qui actionne un neurotransmetteur est transmise par des fréquences radio. L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens (afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques, par exemple). Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoqués, maintenus, modifiés ou inhibés, chez les animaux comme chez l’homme, par stimulation des structures cérébrales spécifiques. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Que l’on peut, par exemple, amplifier grâce à la microchip les ondes générées par les satellites. Via les ondes, on peut faire produire plus ou moins d’hormones à un individu. Par exemple, on peut lui faire produire plus ou moins d’adrénaline, ce qui le rendra plus ou moins anxieux, agressif etc. En d’autres termes, la micro-puce sous-cutanée pour humains est ce que l’on appelle un outil de « mind control » (contrôle de l’esprit), et représente donc un sérieux risque de suppression du libre-arbitre et de la liberté de pensée !!!

- Risque de contrôle des naissances : par les mêmes moyens employés que pour le contrôle de l'esprit (ondes d'une certaine fréquence, satellite, système GPS, stations terriennes et antennes-relais), on peut également contrôler les naissances ! Puisque l'on peut stimuler ou inhiber la production d'hormones, cela signifie également que l'on peut stopper la production d'oestrogène et provoquer chez les femmes une ménopause prématurée !!! On imagine les conséquences terribles d'une telle application de la micro-puce sous-cutanée si elle tombe entre les mains d'un gouvernement peu scrupuleux (ce qui risque fort d'être le cas, puisque Sanders prétendait que "le but des puissances contrôlant le monde est de réduire la population globale de 90% : une taille qui, selon eux, est contrôlée plus facilement").

Se pose alors la question : que se passerait-il si « on » se mettait, via cette micro-puce qui émet mais reçoit également les ondes satellites, à envoyer certaines fréquences d’ondes déterminées afin de modifier délibérément le comportement des gens ou même de s’en servir comme une arme afin de ruiner la santé de cibles précises ?

La réponse est simple : on obtiendrait alors une dictature mondiale dont les opposants éventuels seraient bien vite éliminés, et ce en toute discrétion ! Quant à la liberté de pensée et au libre-arbitre, ils disparaîtraient également ! « Big Brother » serait alors en possession d’une armée d’esclaves humains privés de toute volonté et soumis à l’esclavage de cette maudite micro-puce !!!

Il n’y a plus de doutes à avoir après ce que vous venez de lire : LA MICRO-PUCE EST BIEN L’ABOUTISSEMENT D’UNE CONSPIRATION MONDIALE ET DE PROJETS SECRETS QUE L’ON NOUS A PREPARES DEPUIS PLUS DE 35 ANS !!!

Bien. évidemment, la micro-puce ne s’est pas encore installée partout, et il n’y a, pour l’instant, qu’aux USA où l’usage commence à en être imposé. Et puis, bien sûr, « cela n’arrive jamais qu’aux autres »…

Mais il serait temps de se bouger le c… avant que la micro-puce devienne OBLIGATOIRE chez nous ! Cela risque de se produire très bientôt, car la microchip est déjà bien répandue sur la planète et acquiert une « force de conviction » telle que peu de choses resteront faisables pour la contrer, SAUF SI NOUS REAGISSONS DES MAINTENANT !

« Mais nous vivons quand même en démocratie, donc personne ne viendra nous l’imposer, cette puce ! » . Mouais, peut-être, mais alors, vous oubliez un certain nombre de détails importants : certaines organisations de protection de la vie privée ont protesté contre la microchip « verichip ». Mais leurs arguments ont été balayés d’un revers de main par Applied Digital Solutions. « Les bénéfices à en attendre sont plus importants que les inquiétudes concernant la vie privée », a déclaré l'ancien PDG d’A.D.S., Richard Sullivan. Quelle belle morale, ne trouvez-vous pas ? Eh, oui ! C’est la dictature capitaliste et néo-libéraliste qui prime sur tout le reste !!!

Suite à l’attentat soi-disant « terroriste » du 9 septembre 2001, les USA ont fait passer, sous le nom de « Patriot Act », un certain nombre de lois « anti-terroristes » qui permettent au gouvernement de passer au-dessus de la constitution américaine (cette constitution qui garantit les droits de base et les libertés du citoyen : liberté de presse, liberté d’opinion, liberté de pensée, liberté d’association…). Le Patriot Act est donc une arme à double tranchants qui risque fort de réduire, voire de faire disparaître, les libertés des Américains !!!

Mais savez-vous que les U.S.A. ne sont plus seuls à avoir des lois d’exception anti-terroristes (Patriot Act) ? Ainsi, en France, la loi Perben s’est révélée être, au niveau du concept et des risques, un «jumeau » du Patriot Act. En Belgique, les lois passées en juillet 2002 ainsi que la loi du 19/12/2003 sont elles aussi des copies conformes du Patriot Act. Au Canada, un projet du même style est en préparation ! Ceci signifie que d’autres pays ont hérité de lois d’exception qui comportent les même risques et dérives que le Patriot Act. Ces lois représentent un danger REEL de dérive totalitaire pour tous ces pays. Et dans un Etat faussement démocratique et pleinement totalitaire, l’usage de la micro-puce peut se révéler, LUI AUSSI, dictatorial !

Et puis, les gros commerciaux qui tentent de vendre la micro-puce sous-cutanée pour humains ne sont pas si bêtes ! Nous venons de vous parler des aspects mortellement dangereux de la micro-puce, mais ils viendront vous la présenter avec une voix mielleuse et « pleine de bonnes intentions », et on vous la présentera sous son meilleur jour !!!

Cependant, et à titre d’avertissement, sachez ceci : A.D.S. , dans son projet, ne cache pas que sa micro-puce, entre autres utilisations, sert à « FOURNIR UN MODELE D’IDENTIFICATION INFAILLIBLE, ABSOLU ET A TOUTE EPREUVE, DES INDIVIDUS ». Vous voilà prévenus !!!

Schéma expliquant comment la verichip fonctionne et comment on pourra vous repérer à tout moment, et à votre insu...

5. Comment « on » essaiera de nous faire accepter cette maudite micro-puce

Comme nous l’avons dit ci-dessus, on nous présentera la microchip sous-cutanée sous ses meilleurs aspects afin de nous la faire accepter et de « faire passer la pilule ». Mais n’oubliez jamais une chose : si vous vous faites implanter cette saleté dans le corps, c’en sera fini de votre libre arbitre, de votre vie privée et de votre liberté !

Voici donc quelques arguments « mielleux » qui ont été présentés par A.D.S. et sa filiale, « Verichip ». La verichip sera susceptible d’être utilisée pour :

- la sécurité dans le nouveau domaine du réseau Internet et dans toute transaction impliquant des échanges électroniques (commerce électronique).

- la recherche et le sauvetage d’invidus incluant les enfants perdus ou pris en otage etc.

- le monitoring médical de patients à risque

- la surveillance, le pistage et le suivi de militaires, de diplomates ou de tout autre membre important d’un gouvernement

- le pistage, la surveillance et la vérification de l’authenticité de biens de haute valeur

- le pistage, la localisation et le suivi des pistes ou sillages laissés par les enthousiastes de sports sauvages, et qui auraient pu se blesser gravement à la suite d’un accident

- le pistage et la localisation d’enfants kidnappés (ou assassinés)

Quel humanisme ! ! !

Remarquez bien que les mots « surveillance », « pistage », « recherche », « localisation » et « vérification » reviennent de façon récurrente et même quasiment obsessionnelle !

On fera accepter la microchip au peuple pour des raisons de « sécurité » : on reliera les « bienfaits » de la micro-puce à des événements très graves qui se seront produits et qui, grâce à la micro-puce bien sûr, ne se reproduiront soi-disant plus jamais (ces événements auront même éventuellement été créés à cet effet ou délibérément voulus ; des attentats terroristes, un meurtre particulièrement odieux ou un enlèvement spectaculaire, par exemple), mais aussi à des facilités, notamment financières ou de sécurité (« Avec cette puce sur vous, on ne vous volera plus votre argent ni votre carte de banque ! » ; « Plus de terroristes dans les aéroports : il seront identifiés bien avant leur arrivée !», etc.). Et puis, la micro-puce, ce sera « cool » ! C’est l’incarnation du progrès « que l’on ne peut de toute façon pas arrêter »… Reste à savoir de quel type de progrès on parle !!!

Les arguments financiers sont en tout cas très importants pour le développement de la micro-puce : n’oublions pas que dès sa conception, la microchip fut pensée en termes de gouvernement mondial ET DE MONNAIE UNIQUE !!! Il suffira de passer sa main (ou son front) devant un scanner ad hoc, et votre « compte en banque virtuel » sera débité automatiquement du montant de vos achats. Très vite, on tentera de remplacer les cartes de banque, la monnaie et leurs « faiblesses » par la micro-puce « imbattable et hyper pratique ». Vous croyez qu’il s’agit ici d’une pure spéculation ? Pas si sûr ! Ainsi, par exemple, un certain professeur Kevin Warwick, du département de cybernétique de l’université de Reading (et qui s’était fait implanter la micro-puce) a déclaré il n’y a pas si longtemps (le 10 octobre 1999) lors d’une émission sur la chaîne Arte (intitulée « Souriez,vous êtes surveillés ») que «bientôt les cartes bancaires (et bien sûr aussi la carte d’identité, le passeport, la carte de sécurité sociale etc.) seront remplacées par un implant électronique dans le corps » !!!

Et que voyons-nous aujourd’hui ? Que la micro-puce a contaminé une vingtaine de pays, qu’elle est proposée comme moyen d’atteindre une société sans argent cash et sans chèques, et qu’elle se répand sur la planète !!!

Soyez-en sûr, la microchip, conçue dans une optique de monnaie unique et mondiale, sera proposée dans un premier temps, puis imposée systématiquement comme l’unique moyen de paiement et d’achat « valable », et ce pour les (fausses) raisons citées plus haut.

En plus, imaginez les profits colossaux que A.D.S. (et d’autres firmes fabricant des micro-puces sous-cutanées) retireront de toutes ces opérations ! ! ! Cela représente un marché extrêmement juteux ! ! ! Les brevets furent acquis par A.D.S. pour la « modique » somme de 130 millions de dollars. On ne dépense généralement pas une telle somme s’il n’y a aucun gros profit à l’horizon !

Mais dans une société où cette puce sera presque généralisée, pour ceux qui refuseront la micro-chip, que se passera-t-il ??? Ils ne pourront ni vendre ni acheter sans ce foutu micro-implant, et devront survivre comme des marginaux, en faisant du troc, par exemple...

Des théories et hypothèses affirment que cette micro-puce ne nous sera proposée, puis imposée, qu’après un énorme krach, une catastrophe économique mondiale… ou que l’on joindra à la micro-puce encore d’autres fonctionnalités pour la rendre encore plus séduisante (par exemple, la possibilité de téléphoner avec un GSM…). A suivre de près !

Enfin, les derniers prétextes pour "pucer" les gens sont des élucubrations médicales (donc humanistes, et à caractère "irréfutable", puisque l'on parle de la santé des gens). La puce permettrait de soi-disant "sauver des vies" en donnant des informations capitales sur l'état de gens qui arrivent à l'hôpital inconscients : leurs allergies, leur type sanguin, leur passé médical etc. La micro-puce "améliorerait" aussi le traitement des dossiers des patients... Evidemment, tout ceci n'est que prétexte pour répandre un dispositif dont les dangers (même pour la santé !) ont déjà été démontrés.

Sachant ce que vous savez à présent , vous laisserez-vous pucer, ou laisserez-vous implanter votre enfant ?

Les enfants : un enjeu primordial !

Les enfants et adolescents ont toujours été un public particulier et privilégié pour les ordures qui fabriquent et vendent les micro-puces sous-cutanées pour humains.

POURQUOI les enfants sont-ils donc si importants à leurs yeux ? Mais tout simplement parce qu'ils sont le NERF DE LA GUERRE DES PUCES !!!

Nous aimons nos enfants et voulons naturellement qu'ils soient en sécurité. C'est là l'ouverture parfaite pour les entreprises qui commercialisent les micro-puces sous-cutanées pour humains ! "Nous vivons dans un monde peu sûr, plein de terroristes, de kidnappeurs, d'agresseurs sexuels et autres croque-mitaines", nous sussurent-ils.

Pour protéger vos enfants de façon sûre, vous devriez les faire pister électroniquement, voire les "pucer", nous affirment-ils . Le problème de la sécurité serait alors "résolu" !


Ces crapules jouent donc sur la corde sensible des parents ! Et de plus, il s'agit là d'un moyen "indirect" de toucher les adultes. A partir du moment où les parents ont fait implanter leurs enfants et constatent que, finalement, le "puçage" ne semble pas être quelque chose de bien dangereux, mais au contraire "protège" leurs enfants, ils seront eux aussi tentés de se faire implanter ! GRAVE ERREUR ! Car les risques, eux, sont bien présents ! C'est ainsi qu'aux U.S.A. ou au Japon, des parents commencent déjà à sacrifier (souvent sans s'en apercevoir) la liberté de leurs enfants pour leur soi-disant "sécurité" ! Voilà aussi comment, au Mexique et au Brésil (pays où les kidnappings d'enfants sont monnaie courante), on a réussi à convaincre certaines personnes de faire "pucer" leur(s) enfant(s) !

Si la génération adulte actuelle montre encore certaines réticences par rapport à cet implant infernal, les enfants, eux, peuvent être endoctrinés beaucoup plus facilement : ils ne possèdent pas d'eprit critique bien forgé, et peuvent être "attirés" de façon assez simple. En montrant aux enfants des films et des dessins animés dans lesquels les thèmes relatifs aux puces et RFID sont présents, on les "sensibilise". Observez bien les derniers films sortis au cinéma, les jeux vidéo ou les dessins animés récents, et vous allez tomber des nues !

Faites porter aux enfants des RFID et même des micro-puces sous-cutanées pour humains dès leur plus jeunes âge, et dans une ou deux générations, tout le monde trouvera que porter cet immonde implant sous-cutané est NORMAL !!! Voilà l'un des grands buts que les gens qui commercialisent les micro-puces sous-cutanées pour humains (et les membres du nouvel ordre mondial) poursuivent !

Soyez donc vigilants, et ne tombez pas dans un piège aussi grossier ! ET SURTOUT, NE LAISSEZ PERSONNE PUCER VOTRE ENFANT, EDUQUEZ VOTRE ENFANT AUX VALEURS DE LIBERTE ET DE DEMOCRATIE VERITABLES, NE VOUS LAISSEZ PAS PIEGER PAR LES ARGUMENTS MIELLEUX DES INDUSTRIELS ET DES AUTORITES QUI, POUR DE SOI-DISANT RAISONS DE "SECURITE", D'HUMANISME, DE "PROTECTION MEDICALE" OU DE FACILITES (financières, mode), VIENDRONT VOUS TENTER AFIN QUE VOUS FASSIEZ "PUCER" VOS ENFANTS OU PETITS-ENFANTS !!!

Applied Digital Solutions tente de brouiller les pistes...

Depuis quelque temps, on constate certaines différences techniques au niveau de la verichip et au niveau de la politique d'ADS... Ne vous laissez pas piéger ! ADS tente uniquement de se doter d'une belle apparence d'honorabilité, de brouiller les pistes en faisant passer les opposants de la micro-puce pour des "illuminés", des "rétrogrades", des menteurs etc.

Par exemple, la verichip, qui à la base devait contenir un numéro unique à 18 chiffres répartis en 3 groupes de 6 digits (666), n'en contient plus que 16 dans sa forme actuelle. Toutefois, rien ne pourra les empêcher d'ajouter 2 digits plus tard (lorsque la verichip sera déjà bien implantée partout)...

Aussi, la verichip, ne s'implante plus sur le revers de la main pour l'instant : on utilise l'arrière du bras (le triceps). Tout ceci sert évidemment à déjouer les dénonciations de chrétiens qui voient en ce produit la "marque de la Bête"... TOUTEFOIS, sachez que ADS en revient tout doucement à ses premières résolutions : ainsi, par exemple, le projet consistant à utiliser la verichip pour déverrouiller les gâchettes des armes à feu "intelligentes" (smartguns) dont nous avons parlé un peu plus haut impliquerait que les propriétaires de l'arme à feu soient implantés sur... le revers de la main ! Vous voyez donc comme cette société machiavélique est rusée, et comment l'on peut vous mener en bateau et se jouer de vous facilement ! RESTEZ DONC VIGILANTS ET, QUOI QU'IL ADVIENNE, NE VOUS FAITES PAS IMPLANTER !

La verichip, qui normalement devait être une puce active (donc qui émet et reçoit des données à tout moment et à l'insu de son porteur), est, dans sa forme actuelle, une puce passive (qui ne s'active que lorsqu'un scanner est passé au-dessus de la micro-puce)... TOUTEFOIS, sachez que le projet de puce active RESTE D'ACTUALITE et qu' ADS y pense toujours et avec ardeur !

En fait, rien n'empêche ADS de mettre sur le marché une première version de sa micro-puce sous-cutanée pour humains et, une fois que ce modèle sera bien répandu et accepté, introduire le second modèle qui, lui, possèdera toutes les caractéristiques qui ont été mentionnées au début de cet article ! Et de plus, les dangers pour la santé, le risque de violation de la vie privée ainsi que l'immense péril de contrôle mental de masse subsistent !

6. La micro-puce référencée dans la Bible ?

Même si vous n’êtes pas croyants/croyantes, je pense que ce petit chapitre pourrait vous être très utile.

La Bible (mais oui, ce « vieux bouquin » qui date de 2000 ans !), recèle bien des messages et des codes (simples ou mystérieux). Dans la dernière partie de la Bible, appelée l’Apocalypse de St Jean ou « Révélations », l’auteur nous fait part de ce qui lui a été révélé concernant la période qui concerne « les temps derniers » et qui précède le retour de Jésus Christ.

Cette partie de la Bible est particulièrement difficile à comprendre de façon précise, car Jean y glisse de nombreuses images pour nous parler de « la fin des temps ». Il y est notamment question de l’Antéchrist, des faux prophètes, de la « Bête » et de la « Marque de la Bête » qui, tous, tenteront de causer la perte de l’humanité. Jean décrit aussi le Jugement Dernier, et la façon dont Dieu enverra des avertissements et des « plaies » sur Terre, puis triera les Bons des Méchants.

Le plus étrange, c’est que ce livre, qui semblait bien énigmatique depuis toujours, commence à pouvoir être interprété, de façon parcellaire, soit, mais bien plus clairement depuis peu de temps ! Ainsi, de nombreux Chrétiens ont pu voir un rapprochement plus que « curieux » entre la marque de la Bête et la micro-puce sous-cutanée. Même le Dr. Sanders, après s’être rendu compte du danger de la microchip, était convaincu que la micro-puce était effectivement la marque maudite citée dans l’Apocalypse.

Voyez plutôt :

(Ap. 13:4-5, 16-17-18) : « Ils adorèrent la Bête… On lui donna de proférer des paroles d’orgueil et de blasphème... Elle obligea tous les hommes, gens du peuple et grands personnages, riches ou pauvres, hommes libres et esclaves, à se faire marquer d’un signe sur la main droite ou sur le front. Et personne ne pouvait acheter ou vendre sans porter ce signe : soit le nom de la Bête, soit le nombre correspondant à son nom. C’est ici qu’il faut de la sagesse : que celui qui a de l’intelligence déchiffre le nombre de la Bête ; car c’est un chiffre humain, c’est : six cent soixante-six ».

Lorsque l’on sait que la micro-puce sous-cutanée pour humains fonctionne au maximum de se potentialités sur le revers de la main ou le front (car ces 2 endroits sont les endroits du corps qui changent le plus vite de température, permettant ainsi à la pile au lithium de se recharger via un circuit thermoélectrique), cela semble étonnant, n’est-ce pas ?

Lorsque l’on sait que les sociétés qui produisent cette puce en souhaitent la généralisation au niveau mondial et que la micro-puce possède des ambitions financières visant à créer une société sans argent cash où la monnaie ne serait plus que « virtuelle » (donc unique), on se doute bien que dans une société dominée par la puce comme moyen unique de paiement, ceux qui ne possèderaient pas cette puce ne pourraient ni vendre ni acheter quoi que ce soit. Un élément troublant de plus par rapport à la citation de l’Apocalypse…

Et lorsque l’on sait que le nombre 666 fait partie intégrante de cette puce sous-cutanée (cf. chapitre 2 concernant l’historique de la puce sous-cutanée), on se dit que cela fait beaucoup de « coïncidences » (beaucoup trop) par rapport aux versets de l’Apocalypse cités ci-dessus…

Encore une autre citation de la Bible : (Ap. 16 :2) : « Le premier (ange) s’en alla et versa sa coupe sur la terre. Un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui portaient la marque de la bête et qui adoraient son image ».

Lorsque l’on sait que la microchip possède une pile au lithium qui, une fois brisée, provoque une plaie douloureuse et remplie de pus, on ne peut s’empêcher de faire le rapprochement avec la Bible.

Question : serions-nous donc en train de vivre la période des « temps derniers » ?

La Bible, via l’Apocalypse, nous met aussi sévèrement en garde afin que nous n’acceptions pas la marque de la bête, et nous encourage à vivre selon les commandements de Dieu :

(Ap. 14:9-12) : « Un troisième ange les suivit, proclamant d’une voix forte :

Celui qui adore la bête et son image et qui accepte de recevoir sa marque sur le front et sur la main, devra aussi boire du vin de la fureur de Dieu. Ce vin lui sera versé pur dans la coupe de la colère divine, et il souffrira des tourments dans le feu et le soufre devant les saints anges et devant l’Agneau. La fumée de leur tourment s’élèvera à perpétuité. Quiconque adore la bête et son image, quiconque accepte la marque de son nom ne connaîtra aucun repos, ni de jour, ni de nuit. C’est là que les membres du peuple de Dieu, ceux qui observent les commandements de Dieu et vivent selon la foi en Jésus, doivent faire preuve d’endurance. »

Mais la Bible nous dit aussi que refuser la marque de la bête n’est pas sans risques :

(Ap. 20 :4) : « Je vis aussi les âmes de ceux qu’on avait décapités à cause de la vérité dont Jésus est le témoin et à cause de la Parole de Dieu. Je vis encore tous ceux qui n’avaient pas adoré la bête ni son image et qui n’avaient pas reçu sa marque sur leur front et leur main. Ils revinrent à la vie et régnèrent avec le Christ pendant mille ans ».

La victoire finale appartient cependant à ceux qui n’auront donc pas accepté la marque. Mais c’est aussi ici que se pose la véritable question : êtes-vous prêt(e)s à ne plus pouvoir rien vendre ni acheter, à être rejeté(e)s et à vivre éventuellement de troc, en marginaux, car vous aurez refusé la marque (micro-puce) ? Et même : êtes-vous prêt(e)s à être persécuté(e)s ou à mourir à cause de cette décision (cf. les thèmes de la décapitation et de la résurrection dans le texte) ?

Ou préférez-vous perdre votre liberté, votre libre arbitre, votre âme en acceptant une micro-puce implantée dans votre main ou dans votre front ???

Préférerez-vous mourir en esclave « décérébré » ou en homme libre et conscient ???

C’est la question à laquelle il vous faut dès à présent réfléchir, car le moment venu, vous devrez choisir votre camp, et il n’y aura pas d’alternative ! En tout cas, une chose est certaine : vous ne pourrez pas dire que, croyant(e) ou pas, vous n’aurez pas été avertis des risques et dangers de la microchip, qu’ils soient religieux ou non !

Micro-puce sous-cutanée pour humains : la "Marque de la Bête" ?

7. Des technologies en complément de la micro-puce

Nous allons ici aborder, de façon non exhaustive, certaines technologies existantes et qui pourraient être associées à la micro-puce sous-cutanée pour la perfectionner ou pour augmenter la manipulation et le contrôle des esprits, des corps et des comportements. Rappelez-vous bien ceci : tout ce dont il est question ici existe déjà maintenant ; si vous n’en avez pas entendu parler ou que vous n’en entendez plus parler pour l’instant, cela ne signifie aucunement que l’on ne nous concocte pas quelque chose à notre insu !!!

A) La cybernétique :

Cette branche de la technologie n’en est encore (officiellement !) qu’à ses balbutiements. Toutefois, certains articles, tels que celui paru dans le Washington Post du 28 août 2001, ne peuvent nous laisser indifférent(e)s. Il est aussi possible de se rendre à ce sujet sur le site http://www.lemonde.fr et de demander de vérifier l’édition du 15/11/2001.

L’article concerne une découverte permettant de faire interagir des cellules cérébrales vivantes avec un circuit électronique composé de plaquettes de silicium. L’expérience mise sur pied a consisté à fabriquer un circuit électronique « partiellement vivant » composé de multiples neurones d’escargots collés sur de minuscules puces à transistor. Il fut démontré que les cellules communiquaient entre elles ainsi qu’avec les pastilles de silicium. Applications envisagées : développer des rétines artificielles et des prothèses qui soient des extensions du système nerveux humain ( !), aider les aveugles à recouvrer la vue et les paralysés à « faire bouger des objets par la pensée », construire des ordinateurs qui seraient aussi inventifs et adaptables que notre propre système nerveux, construire une génération de robots qui mériteraient vraiment d’être qualifiés d’ «intelligents ».

On peut d’ores et déjà imaginer, à côté des merveilleuse applications « humanistes », les dangers d’une telle technologie qui joue véritablement avec ce qui vit !

B) Le projet HAARP :

Le projet HAARP (High-frequency Active Auroral Research ; en français : « recherche dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales et australes ») est un projet de l’armée américaine et du consortium pétrolier « Apti-Arco » qui a remplacé le projet "Star Wars" (Guerre des Etoiles). Ce projet est cependant terrestre. Puissant et polyvalent, il consiste à tirer parti de l’ionosphère (couche de l’atmosphère située au-dessus de la stratosphère et constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie) pour en faire une arme à énergie. Pour des informations complètes à ce sujet, vous pouvez vous rendre sur le site http://www.conspiration.cc : un bon petit dossier sur le projet HAARP s’y trouve.

Le projet HAARP se compose d’une vaste installation de plusieurs hectares située à Gakona, en Alaska. Il s’agit d’un vaste périmètre déboisé et plat, flanqué de 48 antennes de 20 mètres de haut et reliées chacune à un émetteur d’un peu moins de 1 million ( !) de watts de puissance. Au niveau du fonctionnement, HAARP revient à bombarder l’ionosphère avec des ondes à hautes fréquences. L’ionosphère se transforme alors en une sorte d’énorme « miroir » virtuel qui agit comme une antenne. Cette antenne virtuelle réémettra des fréquences extrêmement basses ; ce qui a pour effet de créer une sorte de « four micro-ondes géant » dans un territoire donné de l’ionosphère.

Les applications du projet HAARP :

- interrompre toute forme de communication hertzienne

- griller des avions ou des missiles dans le ciel ou affoler leur système de guidage électronique

- provoquer des explosions aussi puissantes qu’une bombe atomique

- modifier la météorologie

- influencer les comportements humains (puisque nous avons vu que les ondes peuvent influer sur le comportement, et étant donné la puissance du HAARP, on peut s’imaginer l’usage effrayant que l’on pourrait en faire ! C’est aussi ici qu’il pourrait y avoir un rapport avec la micro-puce : HAARP pourrait fonctionner comme un puissant relais avec les satellites ou comme un émetteur géant pour le contrôle des populations !)

C) Les vaccins à cristaux liquides :

Parmi les nouveautés en matière de vaccination, on trouve les vaccins à cristaux liquides…

On sait que l’A.D.N. est constitué de cristaux liquides. L’idée des vaccins à cristaux liquides est d’injecter dans l’organisme (par voie intra musculaire, par exemple) de l’ « A.D.N. nu » c’est-à-dire des séquences d’A.D.N. répétitives (cet A.D.N ; peut être synthétique) qui sont les supports d’informations cellulaires sur lesquels on vient greffer soit des séquences d’A.D.N. viral, soit des gènes codants pour des protéines virales ou bactériennes. L’intégration de ce patrimoine génétique à nos cellules est très rapide, et on ne peut plus contrôler ensuite les synthèses protéiques qui se font, puisqu’elles sont intégrées à notre patrimoine. Problème : lorsqu’on vous injecte un vaccin, qui sait exactement ce qu’il y a à l’intérieur ? Qui sait s’il s’agit d’un vaccin « traditionnel » ou d’un vaccin à cristaux liquides ? Même le médecin qui vous l’administre en toute bonne foi l’ignore peut-être !!!

Mais la question qui se pose ici est encore une fois en relation avec le contrôle des individus : cet A.D.N. finalement étranger que l’on nous implante par vaccin n’est-il pas une « antenne » programmable de l’extérieur et que l’on introduit dans notre organisme à des fins qui pourraient être bien différentes peut-être des fins humanistes de santé ? N’y a-t-il aucun risque par exemple que, étant stimulées par un phénomène extérieur (une certaine longueur d’ondes émise par des satellites et qui serait relayée par une micro-puce implantée dans le corps, par exemple), ces particules d’A.D.N. (et de virus) intégrées par notre organisme se mettent non pas à activer notre système immunitaire, mais à le ralentir ou à le stopper, ou encore à produire des toxines ou des virus mortels ? Il s’agirait encore, dans ce cas, de techniques d’actions de masse sur les gens, avec une antenne cellulaire qui court-circuiterait la conscience individuelle !

Certaines personnes se posent très sérieusement la question, notamment au Québec et aux U.S.A. . Le très brillant livre d’Anne Givaudan, « Les dossiers sur le gouvernement mondial », est d’ailleurs fort explicite en ce qui concerne le rôle finalement très peu curatif des vaccins (certains ont d’ailleurs des effets secondaires plus qu’indésirables ! Voir la référence en fin d’article).

D) Les chemtrails :

Les « chemtrails » (chemical trails) sont des traces laissées par les réacteurs des avions. Mais il ne s’agit pas ici des habituelles traces de condensation (« contrails » ou condensation trails) !

Au contraire, les chemtrails sont constitués de particules chimiques qui retombent sur les populations vivant juste en-dessous des villages où l’avion a largué sa dangereuse cargaison !!! La caractéristique de ces tracés chimiques est l’expansion qu’ils prennent dans le ciel et leur « durée de vie » : ils peuvent parfois rester plus de 30 minutes ou même des heures entières dans le ciel avant de disparaître. Le but de ces « opérations chimiques » est encore assez mal connu : tester la résistance des populations à certains produits ou tester la toxicité de ces produits ? Répandre des virus ou des armes biologiques sur une région donnée ? Aider à augmenter l’effet de serre ? Répandre des produits chimiques qui renforceront l’effet de HAARP ?

Mais une chose est certaine : les gouvernements sont généralement impliqués dans ces opérations chimique. Pour une information plus complète concernant les chemtrails, voyez le site de Nenki, dont le dernier livre aborde le sujet : http://www.conspiration.cc

E) La nanotechnologie :

La nanotechnologie est basée sur la « conquête de l’infiniment petit ». Dans ce type de technologie, on travaille à l’échelle du nanomètre (nm), c’est-à-dire du milliardième de mètre, soit environ 80.000 fois moins que l’épaisseur d’un cheveu ! Ce qui est produit à l’aide de cette technologie se situe donc à l’échelle moléculaire ou atomique.

Comme les autres nouvelles technologies pouvant « rapporter gros », on essaie de la développer au maximum, tout en vantant ses qualités « humanistes » et humanitaires, mais en réalité de graves applications pourraient en être faites (en on s’y dirige, comme vous allez vous en rendre compte...). L’Europe souhaite créer une plate-forme industrielle de nanotechnologie, et, rien que pour 2003, l’Union européenne attribuera 700 millions d’euros ( !) en recherches nanotechnologiques. Autant d’argent n’est sans doute pas uniquement alloué dans des buts caritatifs, comme vous pouvez vous en douter... Ainsi, sans s’en cacher et même sans rougir, la commission européenne (dont monsieur Philippe Busquin , ancien politicien belge devenu aujourd’hui commissaire européen à la recherche, se fait l’ambassadeur) financera, entre autres projets, « les matrices d’A.D.N. et les biopuces », afin notamment de développer une biopuce jetable pour des analyses de l’A.D.N. à faible coût... Incroyable, mais vrai ! Cette information est disponible sur le site http://www.health.fgov.be/ (en anglais, mais il y a une traduction en français également). Non, décidément, notre bonne vieille Europe n’est pas à l’abri !

Grande question : en introduisant des nanopuces dans notre corps, quels sont les risques ? Car si ces nanopuces peuvent servir à « repérer les cellules cancéreuses » ou à soigner une maladie à l’intérieur du corps humain, pourquoi ne pourraient-elles pas être utilisées pour détruire ce même corps ? Après tout, ce n’est qu’une question d’intention et de programmation... Vous comprenez aussi à présent comment la microchip, qui ne mesure que quelques mm. de long , peut contenir 250.000 pièces !

F) La biométrie :

La biométrie est la science du calcul des dimensions d’un organe humain. Mais aujourd’hui, les applications en ont fait surtout un moyen de contrôle et de vérification d’identité. Ayant remarqué que les empreintes digitales sont permanentes et uniques, qu’elles sont formées avant la naissance et que leur dessin demeure le même pendant toute une vie, notre bonne vieille industrie, démunie de la moindre morale, s’en est servie afin de créer des systèmes d’identification par empreinte digitale, par la morphologie de la main ou encore par l’iris (ce qui est la méthode la plus fiable).

Mais bien sûr, une fois de plus, on nous vante les merveilleuses facilités et le progrès fulgurant offerts par cette technologie : fini les mots de passe et codes confidentiels difficiles à retenir ; les risques de vols, d’oubli, de transfert disparaissent etc. ...

G) Autres moyens mis à disposition pour écraser et enchaîner l’être humain :

Il existe actuellement tellement de moyens de se servir de l’environnement, des animaux et des gens comme de cobayes ou d’en faire des zombies sans volonté que l’espace manque ici pour les détailler tous : citons entre autres le problème des organismes génétiquement modifiés (O.G.M.), le clonage et toutes les autres dérives génétiques possibles, mais aussi les armes et programmes de la C.I.A. destinés à contrôler l’esprit et le comportement humain ; un aperçu peut en être obtenu sur le site suivant : http://hometown.aol.com/ccapt2001/comportement2b.html

H) Le « Brain machine interface program » :

Enfin, je dois vous dire un mot à propos du projet inhumain du D.A.R.P.A. (Defense Advanced Research Projects Agency, organe de défense américain, donc militaire) visant à enchaîner l’esprit et le corps humains : ce projet, basé sur des micro-puces et micro-électrodes implantées dans le cerveau, dans les nerfs, sur les neurones ou les tissus mous du corps ( !) se nomme « Brain machine interface program » (programme d’interface cerveau-machine). Il permet, à l’aide de ces micro-puces cérébrales qui jouent en quelque sorte le rôle de « télécommande », de « téléguider » véritablement les animaux et les humains implantés ; ce procédé infâme sert également de base au développement de la « télépathie » et de la « télékynésie » par l’intermédiaire matériel de ces puces qui jouent le rôle de relais. En réalité, cette invention permet à l’humain d’agir sur l’extérieur par micro-puces et micro-électrodes interposées, mais aussi à « l’extérieur » d’agir directement sur l’individu et de le contrôler ! Avec cette horreur technologique, fini le libre-arbitre et plus aucun contrôle sur soi, que ce soit au niveau des pensées ou même au niveau des mouvements ! Et vu les endroits très délicats où ce dispositif est placé (sur des neurones du cerveau ou des nerfs), retirer cet implant serait très dangereux, nécessiterait l’intervention de la chirurgie lourde et pourrait même provoquer des séquelles irréversibles !

Dernièrement, des patients humains volontaires atteints de la maladie de Parkinson ont servi de cobayes à ces expérimentations révoltantes. Le tout, bien sûr, sous des prétextes faussement humanistes de « tests pour aider ces patients à guérir de leur maladie » ou à « améliorer leur quotidien »… N’oublions quand même pas que le D.A.R.P.A. est un organisme militaire de défense, et que ses projets ne sont donc pas basés sur l’humanisme et le bien d’autrui, contrairement à ce que la propagande du régime en place essaie de nous faire croire naïvement ! Essayez ces quelques mots (brain machine interface program) dans un moteur de recherche et vous trouverez des sites web concernant cet affreux programme.

Afin d'en svoir plus sur le brain machine interface program, je vous conseille ce dossier très bien documenté (et en 4 parties) que vous pourrez trouver ici : http://www.angelfire.com/d20/philadelphians/MMEA.html

Une puce dans le cerveau, qui fera de vous un véritable esclave et que vous ne pourrez plus retirer... Cela vous tente ?

Bref, à la lumière de toutes ces technologies et techniques, on peut déduire ceci : toujours présentées sous un jour absolument bénéfique, ces inventions sont bien souvent découvertes et expérimentées en milieu industriel et/ou militaire, ce qui en fait toujours des armes potentielles car elles ne sont dédiées qu’au pouvoir, à la guerre ou au profit à tout prix. Car la plus grosse erreur de l’humanité aujourd’hui, c’est de considérer toute chose et toute être, ainsi que le bien le plus précieux (=la vie) comme une simple marchandise, et d’avoir tenté de sacrifier le spirituel au profit du matériel. Nous arrivons à une époque où un choix très important va devoir être fait : soit un revirement de situation qui, au bout du compte, remettra les vraies valeurs en place, soit la même nonchalance et tolérance face à toutes ces horreurs qui se produisent déjà maintenant, et alors ce sera une longue et douloureuse dégringolade...

Comme le disait Anne Givaudan dans « Les dossiers sur le gouvernement mondial » :

« La technologie sans amour mène au dessèchement, que ce soit de votre planète ou de vous-même ». Pour clore ce chapitre, nous dirons donc que notre monde a besoin d’une fameuse prise de conscience, d’une réaction forte (et pacifique si possible), en nombre, et de beaucoup d’amour pour voir enfin une réalité meilleure s’installer. Reste à conclure ce long article...

8. Conclusions

Cet article n’est certainement pas destiné à vous faire peur et n’a aucune prétention, si ce n’est celle d’informer un maximum de personnes du danger qui est à nos portes… La réalité vous paraît sombre ? Soit. Mais ce n’est pas pour cela que rien ne peut être fait. Nous sommes les acteurs qui construisons le monde chaque jour, et le système immonde que l’on nous prépare ne pourra pas passer si la population du monde entier est contre ce système. Mais il faut changer d’optique et réagir, il faut avoir le courage de quitter notre petit confort personnel et manifester haut et fort notre désapprobation. Et plus encore, nous tenir informés, mais en nous méfiant de l’information propagée et en vérifiant tout systématiquement (n’oublions pas que les gros médias sont tenus par les détracteurs des gouvernements ou des grosses entreprises multinationales qui sont à l’origine du problème, et donc que ces médias censurent l’information ou diffusent de la fausse information ou de l’information déformée). Si votre cœur et votre conscience ont vibré ou se sont (r)éveillés à la lecture de ces quelques lignes, alors poursuivez de grâce dès maintenant cette tâche d’information en prévenant vos amis, vos proches, vos collègues ou en diffusant en tout cas un maximum le message (en français ou dans une langue étrangère, car le message doit être entendu partout, le monde entier doit savoir et réagir). Alors, et seulement si nous réagissons tous contre ce que certains ont planifié pour notre futur, alors nous pourrons éviter une catastrophe à l’échelle planétaire. Par ailleurs, il existe de nombreux sites bien documentés à ce sujet (dont certains repris ci-après) où vous pourrez trouver un complément d’information. Et dans le cas où vous auriez encore des doutes quand à la véracité de cet article, ces sites vous aideront peut-être aussi à y voir plus clair…

N’oubliez pas : lors de la seconde guerre mondiale, le peu de personnes qui étaient au courant de l’existence des camps de la mort ou qui avaient réussi à en sortir avaient tenté de prévenir l’opinion publique. Très peu de personnes les crurent ; les gens ne pouvaient croire que l’être humain pouvait être si cruel ou commettre des choses si horribles. Mais lorsque l’on ouvrit les camps à la fin de la guerre, l’étonnement et le dégoût furent grands…

Cet article a été écrit, lui aussi, dans le seul et unique but de vous prévenir, afin que nous puissions tous éviter un futur catastrophique, et afin que vous refusiez cette micro-puce démoniaque !!!

Et puis, ne vous masquez pas la vérité : nos pays ne sont pas à l’abri de ce fléau. Rappelez-vous : certaines réunions auxquelles le Dr. Sanders participa, et qui se déroulèrent « dans un contexte de gouvernement mondial et de monnaie unique », eurent lieu à Bruxelles et à Luxembourg, au cœur même de notre Europe si « propre et honnête », qui est déjà touchée par le fléau de la « verichip » !!!

Quoi qu’il en soit, si jamais dans le futur on vous offre ou on vous impose, à vous ou à vos enfants, l’implant de la micro-puce, vous saurez quoi répondre ! PEU IMPORTE CE QU’IL EN COUTE, PEU IMPORTE CE QU’IL ARRIVE, dites NON à l’esclavage pour vous et pour les générations futures, NON à la pensée unique et à la mort de l’esprit, NON à la Marque de la Bête, et REFUSEZ CETTE IGNOMINIE QU’EST LA MICRO-PUCE SOUS-CUTANEE !!!!!!!

NON A LA MICRO-PUCE SOUS-CUTANEE POUR HUMAINS !!!

9. Sources et références :

EN FRANCAIS :

A) Sites web :

http://www.geocities.com/nomicrochip/homepage.html (site avec pétition en français !)

http://www.conspiration.cc

http://www.onnouscachetout.com

http://www.dak-ministries.com/Marque_B%EAte.php

http://cheminementspirituel.cybertruc.net/666.html

http://www.chez.com/clanmdrcs/article/o6.html

http://www.bethel-fr.com/voxdei/infos/afficher_info.php3?cle=2786

http://news.zdnet.fr/cgi-bin/fr/printer_friendly.cgi?id=2104489

http://www.bugbrother.com/article237.html

http://www.freeflights.net/carl1

B) Ouvrage :

Anne GIVAUDAN (avec la collaboration du docteur Antoine CHAKRAM), Celui qui vient, tome 2 : Les Dossiers sur le Gouvernement Mondial, éditions S.O.I.S., Plazac (France), 1996, 352 pages. (Excellent ouvrage contenant, entre autres, une petite partie concernant la microchip, mais dont le sujet est bien plus large et extrêmement intéressant et interpellant).

EN ANGLAIS :

Sites web :

http://www.adsx.com (site d’Applied Digital Solutions, compagnie qui commercialise la verichip)

http://www.trovan.com (site de Trovan, une compagnie européenne qui commercialise également une micro-puce sous-cutanée pour humains)

http://www.cybertime.net/~ajgood/ch1p1.html

http://www.cybertime.net/~ajgood/ch1p2.html

http://www.prisonplanet.com

http://amsterdam.nettime.org/Lists-Archives/nettime-bold-0111/msg00237.html

DERNIERE MISE A JOUR LE 29/09/2005.

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