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Puis, il a réuni mardi 1er novembre le Conseil gouvernemental des Affaires étrangères et de la Défense (KYSEA). Il a soudainement limogé le chef de l’état-major général de la Défense nationale (le général de l’Armée de l’Air Ioannis Giagos), le chef de l’état-major de l’Armée de Terre (le général de Corps d’armée Fragoulis Fragos), le chef de l’état-major de la Marine nationale (le vice-amiral Dimitris Elefsiniotis) et le chef de l’état-major de l’Armée de l’Air (le vice-général de l’Armée de l’Air Vassilis Klokozas). Il a procédé à leur remplacement.
On ignore le litige qui opposait le gouvernement aux Forces armées alors que M. Papandréou et les chefs d’état-major avaient mis en place ensemble les plans d’austérité successifs.
Chaque plan d’aide internationale a été concomitant avec d’inutiles et très coûteuses commandes d’armement par l’armée grecque à l’Allemagne, à la France ou aux États-Unis. Le budget militaire de la Grèce par contribuable est presque le double de celui des autres membres de la zone euro. Le dernier plan d’urgence adopté en octobre par les États de la zone euro et le FMI a correspondu à une commande aux États-unis de 400 chars M1 Abrams et de 20 véhicules amphibie AA7VA1 pour la modique somme d’1,28 milliard d’euros. Ce schéma reproduit celui que l’on avait connu en 2003 lorsque les subventions européennes pour la modernisation de l’agriculture polonaise avaient été détournés pour acheter des F-16 états-uniens et les engager aux côtés du Pentagone dans l’aventure irakienne.
On observera que la vente des F-16 à la Pologne avait été négociée par un cabinet d’avocats US dirigé par Christine Lagarde, devenue depuis directrice du FMI et à ce titre bienfaitrice de l’état-major grec et de l’industrie militaire US pour ce nouveau contrat.
Le Premier ministre grec, président du PASOK et président de l’Internationale socialiste, Geórgios Papandréou, a annoncé aux membres de son parti, le lundi 31 octobre 2011, qu’il convoquerait un référendum sur le plan de sauvetage économique.
On ignore le litige qui opposait le gouvernement aux Forces armées alors que M. Papandréou et les chefs d’état-major avaient mis en place ensemble les plans d’austérité successifs.
Chaque plan d’aide internationale a été concomitant avec d’inutiles et très coûteuses commandes d’armement par l’armée grecque à l’Allemagne, à la France ou aux États-Unis. Le budget militaire de la Grèce par contribuable est presque le double de celui des autres membres de la zone euro. Le dernier plan d’urgence adopté en octobre par les États de la zone euro et le FMI a correspondu à une commande aux États-unis de 400 chars M1 Abrams et de 20 véhicules amphibie AA7VA1 pour la modique somme d’1,28 milliard d’euros. Ce schéma reproduit celui que l’on avait connu en 2003 lorsque les subventions européennes pour la modernisation de l’agriculture polonaise avaient été détournés pour acheter des F-16 états-uniens et les engager aux côtés du Pentagone dans l’aventure irakienne.
On observera que la vente des F-16 à la Pologne avait été négociée par un cabinet d’avocats US dirigé par Christine Lagarde, devenue depuis directrice du FMI et à ce titre bienfaitrice de l’état-major grec et de l’industrie militaire US pour ce nouveau contrat.
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